Avant de rejoindre Arsenal en 2015, Ismael Bennacer a failli opter pour Manchester City. Il révèle pour la première fois pourquoi il a refusé les Citizens.
Milieu de terrain talentueux, Ismael Bennacer avait suscité l’admiration de plusieurs recruteurs dès son jeune âge, lorsqu’il évoluait à Arles-Avignon. Avant de rejoindre Arsenal en été 2015, il était sur le point de s’engager avec Manchester City. Mais il a finalement refusé les Citizens pour opter pour les Gunners. Le milieu de terrain international révèle pour la première fois la raison.
« Quand je suis arrivé là-bas, je ne me suis pas bien senti. C’était un truc de fou les installations. Incroyable. J’ai parlé avec Vieira et tout. J’ai bien aimé la discussion qu’on a eue, mais le fait qu’ils voulaient que je sois en centre de formation, que je dorme avec les jeunes (U23)… Moi, je voulais direct un appartement. Je voulais ramener ma sœur. Du coup, j’avais abandonné City. Après, il y a eu Arsenal vers la fin juillet ». A-t-il confié, dans une interview accordée à l’Instant Foot.
Finalement, l’aventure de Bennacer à Arsenal n’avait duré que deux ans. Prêté pour 6 mois au FC Tours, il avait été cédé par le club londonien à Empoli pour une somme de 1 million d’Euros. C’est en Serie A qu’il avait fait valoir ses grandes qualités, avant de rejoindre l’AC Milan en été 2019 pour une somme de 17 millions d’Euros.
Ismael Bennacer nous a raconté pourquoi il a refusé de signer à Manchester City alors que tout aurait pu se faire rapidement. ❌🦈
« J’ai visité les installations, c’était incroyable ! » pic.twitter.com/6XXrkjH2vo
— Instant Foot ⚽️ (@lnstantFoot) November 20, 2023
Bennacer parle de l’impact de sa religion sur sa carrière
Parmi les points importants évoqués par Ismael Bennacer lors de son interview à l’Instant Foot, c’est le rôle de sa religion de sa carrière de footballeur.
« Ma foi et ma religion m’ont aidé à faire tous mes choix de carrière. Ma religion m’a permis de trouver toutes les réponses à mes questions en me recueillant et en demandant à Dieu. Quoi qu’il arrive, tout est écrit. Ce qu’il s’est passé avec ma blessure, je suis obligé d’accepter. La foi m’aide à voir tout le temps le verre à moitié plein »