Certains pays s’attèlent aujourd’hui, à adopter un nombre de mesures pour prévenir et réprimer les violences faites aux femmes. Ainsi quel que soit le type de violence infligé à la femme, son auteur est systématiquement exposé à une peine de prison et à des amendes.
En Italie, un Algérien de 52 ans a été condamné, hier mardi, à deux ans et quatre mois de prison ferme par le tribunal de La Spezia, pour avoir giflé son ex-compagne et endommagé son véhicule, rapporte le média italien La Nazione.
Quand la rupture fait perdre la raison !
Les faits remontent à une dizaine de mois, lorsque la femme du quinquagénaire décide de mettre un terme à leur relation après 12 ans de vie commune. L’Algérien qui semble ne pas pouvoir se remettre de cette séparation, décide alors d’aller à la provocation directe.
En effet, lorsque son ex-compagne l’invite à une réunion au bord de la mer, il avait crédulement pensé que c’était pour une éventuelle réconciliation. Mais l’homme découvre que son ex-femme était plutôt venue pour lui annoncer la mauvaise nouvelle ». Plus grande encore est sa stupeur lorsque ce dernier s’aperçoit que sa femme était accompagnée d’un autre homme. Fou furieux, l’Algérien assène une gifle à son ex-partenaire lui infligeant une blessure au visage.
Mais l’homme ne s’est pas contenté de violenter son ex-femme. Quelques jours suivant la rencontre, le mis en cause se dirige vers la maison de cette dernière et s’en prend violemment à sa voiture en lui brisant les vitres et déversant à l’intérieur d’un réservoir cinq litres d’essence.
Selon le même média, le forcené voulait mettre le feu à la voiture, mais il s’est finalement rétracté craignant que cela endommagerait les autres véhicules qui se trouvaient garées à proximité. Mais le parquet a estimé que cet acte ne s’est pas produit, car il était interpellé plus tôt. Aujourd’hui l’homme est condamné à deux ans et quatre mois de prison ferme pour violence à l’encontre de son ex-femme.