L’institut technique des élevages (ITELV) prévoit une baisse de l’offre du poulet vif sur les marchés est ce à partir des mois de février / Mars 2021.
Dans une note conjoncture de l’institut technique des élevages (ITELV), rendu public hier, l’ITELV affirme « On s’attend à une baisse des mises en place des bandes de poulet ce qui va influer certainement sur une baisse de la production et une légère hausse des prix aux différents stades (la loi de l’offre et la demande). On enregistrera ainsi une hausse de l’ordre de 20 à 25 % voire 30 % au niveau de certaines régions du pays par rapport au mois de décembre 2020 »
Avant d’ajouter, » Les informations recueillies auprès de nos points d’observations indique qu’il y ’aura un léger raffermissement des prix durant ce premier trimestre, un accroissement de l’ordre de 20 à 25 % par rapport au mois de décembre 2020″.
Précisant dans ce sillage, « Le manque de matière première (Maïs / Tourteau de soja), et l’instabilité actuelle des prix des aliments ne va pas découragé cette catégorie d’éleveurs car la situation n’est que conjoncturelle. Des solutions de substitution existes et la conjoncture s’y prête , vu que la demande sur ce produit reste toujours importante, ou un grand nombre de consommateurs vont se rabattre sur les viandes blanches vu que les prix restent concurrentiels comparativement aux viandes rouges et aux produits de la mer ».
Vers une hausse des prix de viandes blanches ( poulet de chair)
Dans le même contexte, l’ITELV prévoit une baisse de l’offre du poulet vif sur les marchés à partir du mois de février / Mars 2021.
En effet, l’institut, s’attend « une baisse des mises en place des bandes de poulet ce qui va influer certainement sur une baisse de la production et une légère hausse des prix aux différents stades (la loi de l’offre et la demande).
Par conséquent, l’Institut affirme que le marché enregistrera une hausse de l’ordre de 20 à 25 % voir 30 % au niveau de certaines régions du pays par rapport au mois de décembre 2020.
» Quant aux œufs, on relèvera durant ce premier trimestre (fév./ mars) un maintien des prix à des niveaux élevés. Les prix varieront entre 9,50 à 10,00 DA l’unité au niveau de la production , et 12 et 13 DA l’unité au niveau du détail, avec de légères hausses plus importante au niveau de la région Ouest (la loi de l’offre et la demande) », ajoute l’institut technique des élevages (ITELV).