Kaylia Nemour s’offre une belle distinction personnelle à Abu Dhabi

Kaylia Nemour s’offre une belle distinction personnelle à Abu Dhabi

Kaylia Nemour s’offre une belle distinction personnelle à Abu Dhabi. En effet, elle a obtenu le prix de Sheikha Fatima bint Mubarak de la meilleure sportive arabe de l’année 2024. La championne algérienne se dit contente et honorée de décrocher ce prix.

Kaylia Nemour fait partie des athlètes algériens qui se sont distingués de fort belle manière aux Jeux Olympiques Paris-2024. Elle a offert à l’Algérie la prestigieuse médaille olympique en gymnastique, après une excellente performance en finale des barres asymétriques face à des athlètes du haut niveau. Ce fut la première médaille d’or de l’histoire de notre pays en gymnastique.

Son exploit aux JO a été récompensé en Algérie. D’abord, elle a été reçue par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui lui a décerné l’ordre national du Mérite. Aussi, elle a reçu une récompense financière de la part de Sonatrach et Mobilis. Hier, la championne algérienne a décroché une belle distinction personnelle.

Kaylia Nemour obtient le prix de la meilleure athlète arabe de 2024

En effet, elle a remporté le prix Sheikha Fatima bint Mubarak de la meilleure athlète arabe de l’année 2024. C’est le ministre de la Tolérance émirati, Cheikh Nahyane ben Moubarak Al Nahyane, qui lui a remis le prix, lors d’une cérémonie organisée à l’Emirates Palace d’Abu Dhabi.

La médaillée d’or aux JO Paris-2024 a commenté, dans la foulée, sa distinction personnelle. « Je suis très honorée de voir notre talent couronné comme la meilleure sportive de l’année… C’est un privilège de voir notre talent récompensé à ce niveau », a-t-elle écrit dans une story sur son compte Instagram.

Né d’un père algérien et d’une mère française, Kaylia Nemour (17 ans) devait représenter la France. Mais elle a fini par changer sa nationalité sportive, en optant pour l’algérienne, suite à un conflit avec la Fédération française du gymnatique qui ne lui avait pas autorisé de prendre part aux JO en raison de deux interventions chirurgicales au genou.