Ce lundi, une opération de libération d’otage aux allures de scénario hollywoodien s’est déroulée à Alger. Grace aux efforts de la brigade de lutte contre la grande criminalité, un homme séquestré par une bande organisée a été libéré après avoir été kidnappé sur un parking de Rouiba.
Kidnapping à Alger : libération d’un otage et arrestation d’un gang spécialisé
Démantèlement d’un réseau criminel à Alger : 10 individus arrêtés pour enlèvement
Une opération réussie de la brigade de lutte contre la grande criminalité de la deuxième circonscription de la police judiciaire de Bab Ezzouar, à Alger, a conduit à l’arrestation d’un réseau criminel impliqué dans un enlèvement avec demande de rançon. Le groupe de malfaiteurs démantelé se composait de dix individus, âgés entre 30 et 44 ans.
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L’affaire a débuté par un appel à l’équipe, signalant une agression suivie d’un enlèvement perpétré par un groupe criminel non identifié circulant à bord de deux véhicules dans un parking à Rouïba, dans la capitale. Les kidnappeurs ont ensuite transporté la victime hors de la wilaya et ont demandé une rançon en échange de sa libération.
Les services de police ont rapidement réagi en lançant des enquêtes approfondies, supervisées par le parquet compétent de la région.
Grâce à l’utilisation de « moyens technologiques avancés », les enquêteurs ont pu localiser le lieu de détention de la victime en peu de temps. Les dix suspects ont été identifiés, arrêtés, puis présentés devant l’autorité judiciaire compétente. Quant à la victime, elle a pu être libérée et saine et sauve.
Un agent municipal sauvagement assassiné après une altercation à la mairie
La wilaya d’Alger a été le théâtre d’une scène des plus choquantes il y a quelques jours. Un fonctionnaire au sein de la mairie de Djasr Kasentina (Gué de Constantine) a tragiquement perdu la vie dans une altercation avec un citoyen.
Venu demander un renouvellement de sa carte d’identité biométrique, l’accusé s’est vu stoppé net dans sa démarche par des obstacles administratifs (absence de documents justificatifs). Le ton monte entre l’employé et son interlocuteur, qui engage un combat physique.
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L’agent municipal s’écroule peu de temps après avoir reçu un coup de poing au visage. L’autopsie révèlera par la suite la cause de la mort : une hypertrophie pulmonaire et une rigidité avancée des artères dues aux coups assénés.
