L’autoroute Est-Ouest passe au péage : l’accès à Alger payant à partir de ces dates

L’autoroute Est-Ouest passe au péage : l’accès à Alger payant à partir de ces dates

À partir de ce samedi 23 novembre 2024, les conducteurs empruntant l’autoroute en direction d’Alger, devront passer par les stations de péage. À travers un communiqué publié sur la page Facebook « Algérienne des autoroutes « . Les autorités annoncent la phase finale des travaux liés à l’installation des systèmes de péage au niveau du réseau autoroutier Est-Ouest. Concernant les poids lourds, ils devront faire un détour via la route nationale N° 05. Et ce, pendant une période de 10 jours, à partir du 26 novembre 2024.

En effet, cette annonce intervient après plusieurs épisodes de gel du projet en raison de difficultés rencontrés avec les entreprises chargés des travaux. Comme l’avait annoncé le ministre des Travaux Public lors de sa visite de terrain à Bouira et Tizi-Ouzou, en début d’année.

Finalisation des travaux pour l’installation des systèmes de péage : détournement temporaire du trafic sur l’autoroute Est-Ouest

Voici les détails à retenir du communiqué concernant les perturbations routières liés à la mise en place des deux systèmes de péage pour l’accès à Alger :

  • Mouzaïa (Blida) : à partir du 23 novembre 2024 à 08h00, la circulation vers Alger sera redirigée à l’intérieur de la station de péage ;
  • Khemis El Khechna (Boumerdès) : les véhicules lourds seront temporairement redirigés vers la route nationale N° 05. Au niveau du croisement de Lakhdaria (wilaya de Bouira). Et ce, pour une période de dix jours, à partir du 26 novembre 2024 à 08h00 ;

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Par ailleurs, sur sa page Facebook, « Algérienne des autoroutes  » s’excuse auprès des automobilistes. Pour les désagréments occasionnés dans le cadre de ces travaux. Ainsi, elle rappelle l’importance du respect de la signalisation pour la sécurité de tous.

En effet, bien que la circulation vers Oran et Bouira reste inchangée. Des panneaux de signalisation sont installés pour guider les conducteurs. Ces derniers ne doivent pas dépasser la vitesse maximale de 30 km/h. Ainsi, ils sont appelés à tenir compte des zones de péage.

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En outre, le gouvernement algérien intensifie ses efforts pour améliorer le réseau routier national. Et ce, à travers la modernisation des infrastructures et la gestion du trafic. De plus, le ministère des Travaux Publics prévoit la mise en place de nouvelles mesures. Visant à mettre fin à la prolifération anarchique des creusements et des ralentisseurs. Qui nuisent à la qualité des infrastructures routières.