Alors que les relations entre la France et l’Algérie traversent une période de fortes tensions, la porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, a appelé à éviter toute escalade.
De plus, Sophie Primas a pointé du doigt l’arrestation de l’écrivain franco-algérien, Boualem Sansal, qui a accru les frictions entre les deux pays. À ce propos, elle a plaidé pour un « apaisement sans naïveté » et une normalisation des relations bilatérales.
Par ailleurs, la porte-parole du gouvernement français, a accusé l’Algérie de « monter la tension ». Pourtant, elle a insisté sur la nécessité de ne pas envenimer la situation. « Personne n’a intérêt à une escalade entre la France et l’Algérie », a-t-elle déclaré. Soulignant l’importance de ramener les relations entre les deux pays à un niveau plus apaisé.
France-Algérie : sur fond d’arrestation de Boualem Sansal, la porte-parole du gouvernement français plaide pour un apaisement
L’arrestation de Boualem Sansal, écrivain connu pour ses positions critiques, a été au cœur des récentes tensions, suivie d’autres affaires liées aux influenceurs algériens en France. Toutefois, si cette dernière y voit un symbole de « montée de tension », l’Algérie considère cette affaire comme une question strictement judiciaire, relevant de sa compétence exclusive.
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Cependant, Sophie Primas a évoqué cette affaire comme un exemple des « tensions » actuelles. Sans entrer dans les détails, elle a laissé entendre que cet épisode illustre la complexité des relations franco-algériennes, marquées par des divergences politiques et des sensibilités historiques.
En effet, la porte-parole du gouvernement français est intervenu dans un contexte où les deux pays peinent à trouver un terrain d’entente sur plusieurs dossiers sensibles, notamment mémoriels et économiques. La France, selon Sophie Primas, entend privilégier une approche pragmatique, sans pour autant faire preuve de « naïveté ».
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À ce titre, elle a martelé la volonté de la France de privilégier le dialogue. « Nous devons ramener nos relations avec l’Algérie au même niveau qu’avec d’autres États », a-t-elle répété, insistant sur l’importance d’un « apaisement sans naïveté ».
