Agressée lors de la soirée du 4 novembre dernier par deux individus toujours inconnus, l’affaire de la joueuse franco-algérienne Kheira Hamraoui, du club français le Paris Saint-Germain, se poursuit.
Dans un premier temps, l’enquête a mené à une éventuelle implication de sa coéquipière, présente au moment des faits, Aminata Diallo. Mise en garde à vue pendant 36 heures, cette dernière a fini par être relâchée par la police judiciaire de Versailles, et ce, sans la moindre charge retenue à son encontre.
Par la suite, les investigations ont orienté les policiers vers l’ancien directeur sportif du club catalan, le FC Barcelone, dont elle jouait Hamraoui. Il s’agissait en effet, d’Eric Abidal, et ce, à cause d’une puce téléphonique de ladite joueuse qui était au nom de ce dernier.
Les nouvelles révélations
L’affaire Hamraoui a pris un sens plus large. En effet, le New York Times a abordé le sujet de sa fameuse agression dans son édition du mardi 7 décembre.
En effet, le journal américain a évoqué tous les détails nécessaires de l’affaire de l’agression de la joueuse du PSG, Kheira Hamraoui. En outre, le même média a révélé que la milieu de terrain aurait « suggéré le nom d’au moins deux coéquipières parisiennes », accusées d’être impliquées dans ladite affaire. Cependant, aucune information supplémentaire n’a été fournie par ledit journal quant à l’identité de ces dernières.
Par ailleurs, la même source a fait savoir que » si les policiers ont relâché Aminata Diallo sans aucune charge retenue contre elle, ils refusent de la blanchir définitivement de tout soupçon et ont conservé ses deux téléphones et son ordinateur « , en attendant la suite de l’affaire.