L’Algérie commence à récolter les fruits de son travail malgré la conjoncture économique difficile et les campagnes de déstabilisation

L’Algérie commence à récolter les fruits de son travail malgré la conjoncture économique difficile et les campagnes de déstabilisation

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a affirmé  dimanche à Sétif, que Algérie a commencé à « récolter les fruits de son  travail », malgré la conjoncture économique difficile, les bouleversements  politiques et sécuritaires survenus dans le monde et les campagnes de  déstabilisation visant à semer le doute et le désespoir ».

Dans une allocution devant les représentants de la société civile au  siège du Club des avocats, à l’issue de sa visite de travail dans la  wilaya, M. Sellal a indiqué qu’il avait demandé aux grands entraineurs de  l’Entente de Sétif, les défunts Hadj Laaribi et Kermali quel était le  secret du second souffle du club, leur réponse était, a-t-il dit, « le  travail et l’entrainement au quotidien, en été comme en hiver, sur les  hauteurs de la ville ».



« L’Algérie a commencé à récolter les fruits de son travail et a pris,  elle aussi, son second souffle », a soutenu le Premier ministre précisant  que malgré la conjoncture économique difficile et les bouleversements  politiques et sécuritaires que connaît le monde et en dépit des campagnes de déstabilisation visant à semer le doute et le désespoir, l’Algérie  demeure debout, fidèle à ses principes et libre dans ses décisions ».

M. Sellal a souligné par ailleurs « la nécessité de promouvoir  l’université et le service national en tant qu’espaces d’échange entre les  enfants d’une nation unie », appelant les jeunes à « découvrir les régions et  les populations de leur pays car, a-t-il dit,  l’échange construit la  personnalité et enseigne la tolérance et l’acceptation de l’autre ».

Le Premier ministre a salué le modèle de la société algérienne « fondé sur  l’égalité des chances et la fusion entre les enfants d’une même nation où  les sectes et les classes n’existent pas et où les citoyens sont promus en  fonction des critères de compétence et du mérite », ajoutant « je suis fier d’appartenir à l’Algérie indépendante où un citoyen issu d’une famille  simple peut accéder aux responsabilités de l’Etat ».