Mais au 1er janvier 2017, le gouvernement a décider de franchir une autre étape : celle deconditionner l’octroi des licences d’importation à la construction d’usine d’assemblage de véhicules ou de pièces de rechange. Pas d’usine, pas de licence ! L’annonce réalisée à la fin du mois par le Premier ministre a laissé sans voix de nombreux distributeurs. même si la de finances de 2014 le stipulait déjà. Ainsi, « cet investissement doit être réalisé dans un délai maximum de trois ans, à compter de janvier 2014 pour les concessionnaires qui sont en activité. Pour les autres concessionnaires, l’investissement doit être réalisé dans un délai de trois à compter de la date d’octroi de l’agrément définitif. »
Selon ces termes, Renault grâce à son usine d’assemblage basée à Oran, pourrait continuer à importer des véhicules. Volkswagen également grâce à son projet d’usine qui serait en phase de concrétisation avec le gouvernement. Iveco, Scania, Nissan, Toyota auraient ainsi des projets bien avancés. Les autres marques, dont Peugeot, semblent en revanche menacées…