Une nouvelle figure algérienne a décroché un poste au sein d’une institution internationale de renom. Le professeur algérien Noureddine Yassaa a été élu vice-président du troisième groupe de travail chargé d’atténuer les effets du changement climatique à Nairobi, au Kenya, par une large majorité de la part du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Noureddine Yassaa nouveau vice-président du GIEC
Le GIEC est un organe de l’ONU qui s’occupe d’évaluer les connaissances scientifiques sur le changement climatique. Le GIEC s’occupe notamment de fournir divers scénarios et stratégies d’adaptation et d’atténuation pour réduire les effets négatifs du changement climatique.
Lors du scrutin organisé du 25 au 28 juillet dernier, les membres du GIEC ont voté en faveur du professeur Noureddine Yassaa à la 59ᵉ session de rassemblement de l’organisme.
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Le professeur Yassaa contribuera prochainement à la détermination et à la préparation des évaluations du GIEC. Il informera et guidera ainsi les décideurs sur des solutions qui soutiendront les efforts mondiaux de lutte contre les effets négatifs du changement climatique sur la planète.
L’Algérie de plus en plus soucieuse de l’environnement
Grâce à cette élection, l’Algérie participera à mobiliser l’expertise scientifique internationale sur la question de l’atténuation des effets du changement climatique. Il est question de tenir compte des préoccupations des pays en développement concernant la nécessité de passer à un modèle économique à faible émission de carbone.
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Le professeur Yassaa occupe actuellement le poste de responsable au sein d’une unité spécialisée dans les énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Une institution nationale chargée d’analyser les politiques publiques liées à la transition énergétique et de contribuer à leur élaboration.
