Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi a affirmé après sa rencontre d’hier avec le chef de l’Etat, que cette dernière est « l’une des institutions que le président de la République souhaite voir occuper une place et bénéficier de son soutien, par tous les moyens légaux ».
En effet, Dans une déclaration à la presse Charfi a précisé que « cette procédure n’est pas prévue par la loi mais le président de la République a tenu à en faire une tradition louable dans l’édification du nouveau Etat algérien ».