Le Colonel Farouk Achour, Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile était sur les ondes de la chaîne trois, afin de répondre aux questions de Souhila El Hachemi dans son émission ‘L’invité de la rédaction’.
Le thème principale est le sauvetage de Ayache Mahdjoub. Pour rappel, l’homme est mort suite à une chute dans un puits d’une de profondeur de 30 mètres.
Le Colonel Farouk Achour a précisé que l’unité de boussada s’est précipitée sur les lieux, afin de débuter l’opération de sauvetage au plus vite.
Concernant l’extraction du corps, le Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile informe que ça se fera aujourd’hui, en précisant qu’il ne rester que deux mètres pour atteindre le corps: « C’est un cas qui nécessite une technique spécifique, et la victime été à 30 mètres de profondeur, tous les techniciens sont sur le coups ».
Le Colonel Farouk Achour, précise que le corps de Ayach Mahdjoubi ne dégager plus de chaleur, « Nous avons déduit que l’homme était mort ».
Farouk Achour précise que l’opération est délicate, car c’est une canalisation non pas un puits aux normes (puits cartésien), il a fallu creuser, et aller doucement car il y a un flux massif d’eau. Quoiqu’il en soit, une enquête menée par la police scientifique, va aider à améliorer la prévention, et de ce fait apporter plus de précision quant aux causes du décès.
Concernant l’opération de sauvetage, le Colonel Farouk Achour confirme que tous les moyens étaient présents pour sauver Ayach Mahdjoubi. En ajoutant que ce n’était en aucun cas, « Un manque d’expertise ou de professionnalisme de la part de la protection civile. La protection civile est une référence, elle a fait ces preuves, nous sommes une institution très disciplinée, et nous avons été la bas a temps, tous les protocoles ont été respectés pour intervenir le plus rapidement possible« .
Face à un risque de catastrophes naturelles, Farouk Achour confirme: « Nous sommes prêts à intervenir face à tous types de catastrophes, nous avons tous les moyens pour le faire, à savoir de la compétence humaine et matérielle pour la prise en charge ».