Le Pen appelle à la fermeture des mosquées et à l’expulsion des Imams

Le Pen appelle à la fermeture des mosquées et à l’expulsion des Imams

La présidente du Front National extrémiste, Marine le Pen profite de la moindre occasion pour exprimer sa haine et son racisme contre tout ce qui est musulman.

Face aux incidents terroristes qui ne cessent de bouleverser l’ensemble de l’Europe, a exprimé son épouvante et sa crainte d’un nouvel attentat de « terroristes islamistes », tout en appelant à agir devant la multiplication effrayante des attentats perpétrés sur le sol français, désormais quasi hebdomadaire, et devant l’insupportable gradation  dans le degré de barbarie.

«Nous disons au gouvernement et au président de la république qu’il n’est plus possible de ne pas agir »,a-t-elle asséné.

L’eurodéputé a rappelé ses propositions, déjà connues : « Fermetures des mosquées salafistes, expulsion des imams prêcheurs de haine, contrôles à nos frontières nationales, arrêt de l’immigration, véto à la politique allemande d’accueil des migrants, rétablissement d’une pleine entière double peine, mise  hors d’état de nuire des fichés S notamment ou encore réforme du code de la nationalité ».

«La consternation est totale .Un pas a été franchi par les barbares qui se réclament de cette idéologie meurtrière, en attaquant un lieu de culte de l’Eglise catholique et en commettant de telles atrocités sur des hommes et des femmes de paix », a-t-elle assuré.

Pour sa part la député extrémiste Marion Maréchal le Pen a adopté un ton offensif pour appeler les Chrétiens à se lever face à l’islamisme, au risque d’attiser les tensions déjà vives depuis Nice.

«Ils tuent nos enfants, assassinent nos policiers et égorgent nos prêtres. Réveillez-vous! » a tweeté peu après l’attentat Marion Maréchal-Le Pen, « si l’Etat français ne protège plus les Français », ils « finiront par se protéger eux-mêmes », appelant à une stratégie globale et à une révolution intellectuelle.

En réponse aux propos de Nicolas Sarkozy et de Marine Le Pen, le chef de l’Etat François Hollande a assuré qu’il ne « dérogerait pas à la Constitution » pour lutter contre le terrorisme et le fanatisme.