Non non, c’est pas une farce. C’est on ne peut plus sérieux.Le Roi d’Arabie Saoudite Abdallah Ben Abdel Aziz Al Saoud voudrait bel et bien acheter Facebook !
C’est bien connu. C’est une vieille manie chez les Saoudiens: dès qu’ils rentrent dans une boutique, un hôtel, un mall, une clinique ou un machin-bidule, l’envie de s’accaparer des lieux les envahit subitement.
Pourrait-on en dire de même pour Facebook ? Le Roi en y ouvrant un compte , aurait-il eu cette envie soudaine de s’acheter le produit de Michael Zuckerberg ?
Non là c’est un peu plus recherché. La haute autorité saoudienne en faisant l’acquisition de Facebook cherche à mieux museler son contenu.
Constatant que cette plateforme de réseaux sociaux est en grande partie responsable dans la diffusion des « révolutions arabes », le protecteur des Lieux Saints de l’Islam cherchent à en prendre le contrôle.
Aurait-il peur que cette épidémie touche son pays ? La réponse est oui. Des mouvements de manifestations ( organisées par des dissidents chiites) ont déjà ébranlé le pays dernièrement.
Cette fièvre révolutionnaire a touché même un des cousins du Roi qui le presse à moderniser le royaume. Et la petite fille du fondateur du Royaume la princesse Sara Bint Talal Ibn Abdel Aziz Al Saoud aurait même formulé une demande d’asile politique en Grande-Bretagne.
Concrètement le Roi d’Arabie Saoudite aurait fait une proposition très alléchante au patron de Facebook au moment où le prix de l’action de la firme a connu une baisse significative.
Ce qui s’apparente à une tentative de reprise d’ une entreprise en difficulté a tout l’air d’une offre du siècle. Le Roi Abdallah se dit prêt à payer 150 milliards de dollars pour prendre les commandes de la firme.
Facebook va-t-il céder à la tentation ? Va-t-il chercher à sauver les intérêts de ses actionnaires ? La balle est dans le camp de Michael Zucherberg ..