Les forces de l’alternative dénoncent « la campagne de terreur » que mène le pouvoir contre les militants politiques et les citoyens manifestants, “affolé par l’ampleur du rejet populaire rencontré depuis février 2019 contre tout projet de restauration du système autoritaire, celui-ci accélère et accentue la campagne de terreur contre les militant(e)s politiques et les citoyens manifestant(e)s”
Les forces de l’alternative condamnent fermement « toute forme de répression et d’entraves aux libertés » en appelant « les magistrats à s’opposer à toute forme d’instrumentalisation de la justice » et en « réitèrent leurs exigences pour la libération immédiate et inconditionnelle de tous les détenus politiques et d’opinion ».
Pour le rassemblement des différents partis politiques, si le pouvoir « déploie une campagne de charme en direction des puissances étrangères » c’est « dans le double objectif de continuer à bénéficier de leur silence et/ou protection et enfin pour entraver toute solidarité de leur opinion citoyenne ».
Par ailleurs » les forces de pacte de l’alternative démocratique réaffirment que seule une période de transition démocratique vouée à un processus constituant souverain permettra de sortir du système autoritaire en accord avec les aspirations du peuple algérien »