Le football, comme tout autre sport, est souvent en proie à de cruelles injustices. Qu’il s’agisse de décisions arbitrales erronées ou de moments controversés dans l’attribution des meilleurs joueurs, l’histoire du football regorge d’exemples où l’échec de quelqu’un n’était pas mérité. Toutefois, ce sont ces exemples qui font souvent l’objet de débats passionnés entre les supporters et les experts.
Chelsea-Barcelone (2009)
Un match légendaire pour son manque d’équité. Le deuxième match de la demi-finale a été arbitré par Tom Henning Evrebro, et ce n’était clairement pas son jour. Il aurait pu accorder des penalties aux Catalans à six reprises. Il n’a pas remarqué les tacles brutaux des joueurs espagnols, les coups de main répétés dans la surface de réparation, et il a également donné des cartons aux Londoniens pour simulation. Michael Ballack et Drogba, furieux, ont failli tuer l’arbitre sur le terrain. Ce dernier s’est même permis de proférer des jurons devant la caméra après la fin du match. Heureusement qu’il y a la VAR. D’ailleurs, Les meilleurs casinos en ligne francais proposent même des jeux sur ce thème.
Pénalités en vigueur la saison prochaine
Examinons cette injustice du règlement à l’aide d’un exemple abstrait. Un joueur de l’équipe « A » joue en Ligue des champions et reçoit un deuxième carton jaune lors du dernier match. L’équipe est éliminée du tirage au sort. La saison suivante, il est transféré dans l’équipe « B », qui participe également à la Ligue des champions. Dans ce cas, le joueur est privé du droit de participer au premier match du club sur la scène de l’Euro en raison de la disqualification de l’année dernière. Est-ce vraiment injuste ? Après tout, le football est un jeu d’équipe. Marquer des buts, défendre le but sont les fruits d’un travail d’équipe, qui inclut les pénalités, lesquelles sont le plus souvent le résultat d’une erreur d’un joueur, qui est donc obligé d’être corrigé par un autre coéquipier.
Le comportement antisportif est une autre affaire, pour laquelle quelques pénalités devraient être infligées. Mais dans un autre cas, il est au moins illogique de priver un joueur du droit de jouer la nouvelle saison pour une autre équipe en raison d’infractions passées.
La règle du but à l’extérieur
L’UEFA a récemment décidé d’exclure cette règle du règlement, mais il est impossible de ne pas la mentionner. Pendant de nombreuses années, elle a été utilisée pour déterminer les vainqueurs en cas de match nul dans les matchs éliminatoires à deux reprises. Dans ce cas, l’équipe qui avait marqué le plus de buts à l’extérieur l’emportait.
L’exemple le plus frappant de cette injustice s’est produit lors de la demi-finale de la Ligue des champions 2002/2003, qui a vu s’affronter le Milan italien et l’Internazionale. Comme vous le savez, ces deux équipes partagent le stade San Siro, où se sont déroulés les matchs. Le premier match s’est terminé sur le score de 0:0, et le second sur celui de 1:1. Milan a atteint la finale grâce à cette règle. L’absurdité de la situation en a laissé plus d’un perplexe, mais ce match n’a pas été la moindre influence sur l’abolition de la règle du but à l’extérieur, même si c’est presque 20 ans plus tard.
Les distinctions individuelles
De nombreuses personnes sont mécontentes des résultats de ces récompenses pour des raisons subjectives, mais il arrive parfois que la quasi-totalité de la communauté du football soit perplexe. Les résultats du prix Ferenc Puskás font l’objet de nombreuses critiques, mais c’est le système de vote qui est en cause. Nous devrions nous concentrer sur le Ballon d’Or.
À l’ère de Messi et de Ronaldo, il semble que les autres joueurs soient tout simplement ignorés. Franck Riberisocratie encore aujourd’hui pour ne pas avoir reçu le Ballon d’Or en 2013. À l’époque, le Français avait réalisé un triplé avec le Bayern München et était le leader de l’équipe. Mais, comme nous le savons, Franck a pris la troisième place après la décision de l’UEFA d’autoriser les personnes interrogées à revoter. C’est Cristiano qui l’a emporté.
Trois ans plus tôt, Andres Iniesta avait, sans le mériter, « survolé » le prix. En 2010, l’Espagnol a remporté la Coupe du monde en marquant l’unique but de la finale. Les succès en club se sont ajoutés à cela. Mais c’est finalement Lionel Messi qui a remporté la Coupe du monde.
Robert Lewandowski est une autre histoire. En 2022, le monde entier a souffert du covid, mais même les événements officiels les plus médiatisés (comme les Oscars) ont été organisés à distance. Mais France Football en a décidé autrement et a carrément annulé la cérémonie, où c’est l’attaquant polonais qui devait prendre la première place.
En conclusion
Finalement, le football, comme la vie, n’est pas toujours juste. Mais c’est là que l’on voit la vraie nature de l’esprit de compétition. Malgré les failles dans les règles ou les décisions injustifiées des arbitres, le football continue d’inspirer des millions de personnes à travers le monde, et les injustices ne sont qu’une partie de son grand héritage.