Dans notre édition d’hier, nous avons rapporté une information relayée par certains médias turcs, au sujet de l’envie affichée par l’international algérien Rafik Djebbour de vouloir quitter son club l’Olympiakos pour aller rejoindre la formation turque de Fenerbahce, qui le sollicite depuis plusieurs semaines maintenant. Le site fotospor.com avait même annoncé que l’attaquant des Verts est allé au clash avec ses propres dirigeants, en leur exigeant carrément de le laisser partir en cette période du mercato pour rallier le championnat turc. Cette information (plutôt une rumeur) a eu l’effet d’une bombe au sein de la maison rouge du Pirée, d’autant que la plupart des médias grecs se sont empressés de la rapporter à leur tour.
Contacté par nos soins, un responsable de l’Olympiakos a tenu à démentir catégoriquement cette rumeur, en nous affirmant que «jamais, Djebbour n’a fait de pression ou quoi que ce soit à la direction pour exiger un départ pour Fenerbahce ou un autre club», avant d’enchaîner : «Rafik se sent bien chez nous et je ne vois pas pourquoi il demanderait à partir, d’autant qu’il joue régulièrement et marque presque dans tous les matchs. C’est absurde. Il ne faut pas croire tout ce que racontent les médias ici.»
Voilà qui va refroidir les dirigeants de Fenerbahce et surtout amener plus de calme dans la maison Olympiakos.
Notons enfin que selon la presse grecque, la seule condition pour que la direction du Pirée accepte de laisser partir l’international algérien cet hiver est qu’un club se présente officiellement et mette sur la table au minimum 6 millions d’euros.
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Harmatallah déçu par les propos de Meghni
Dans l’interview qu’il nous a accordée hier, le milieu de terrain algérien Mourad Meghni a justifié son état physique actuel jugé fébrile, par la mauvaise préparation qu’il a effectuée lors de l’intersaison sous la houlette du désormais ancien coach d’Umm Salal, en l’occurrence Hassan Harmatallah. Sans le viser directement, le joueur a presque incombé l’entière responsabilité de ses rechutes depuis l’entame de la saison au coach marocain. Joint par nos soins, hier en début d’après-midi, ce dernier n’a pas souhaité répliquer et entrer dans la polémique. Assez déçu par les propos du joueur et aussi de son frère Saïd, Harmatallah nous a précisé néanmoins que par respect au joueur et au club, il préférait garder le silence et ne pas répondre.
