Depuis mardi dernier, l’épouse du footballeur Jamie Vardy, Rebekah, fait face au tribunal de Londres pour avoir fait «fuiter» des informations concernant certains footballeurs. Le capitaine de la sélection nationale, Riyad Mahrez, en avait déjà été victime en 2018, lorsqu’il évoluait à Leicester City.
C’est l’affaire qui a fait couler beaucoup d’encre en Angleterre. Rebekah Vardy, épouse des du footballeur anglais de Leicester City, Jamie, est accusée d’avoir fait fuiter des informations de certains joueurs. Ce n’est pas tout puisque la concernée est aussi accusée par Coleen Rooney, femme du célèbre footballeur Anglais, Wayne Rooney, d’avoir fait fuiter des informations sur elle aux tabloïds anglais. Une histoire qui remonte à l’année 2019.
À cette époque, Mme Rooney a accusé Mme Vardy d’avoir transmis à la presse anglaise des «fausses histoires» la concernant. Toutefois, Rebekah Vardy a nié et décide d’attaquer en justice l’épouse de Wayne Rooney pour diffamation. Et selon la loi britannique, c’est désormais à cette dernière de prouver la véracité des accusations proférées. Au cours du deuxième jour du procès, le nom de l’international algérien Riyad Mahrez a été cité.
Mahrez déjà victime de la «Tuyauteuse» Vardy !
En effet, Rebekah Vardy a été interrogée sur les messages qu’elle a envoyé à son agente, Caroline Watt, concernant le fait que Riyad Mahrez ne se soit pas présenté à une séance d’entraînement en 2018 lorsqu’il évoluait à Leicester City, une façon par laquelle il voulait exprimer son grand désarroi après que son transfert à Manchester City avait été capoté à la dernière minute, lors du mercato hivernal de la même année. Sa source ? C’est tout simplement son mari Jamie, ex-coéquipiers de Riyad à Leicester City. Deux attaquants qui constituaient la force de frappe de leur équipe entre 2014 et 2018.
L’agente en question a, par la suite, recommandé à Madame Vardy de faire fuiter l’information à un journaliste de Sky Sports. S’exprimant devant le tribunal, elle a expliqué: «Ce n’était que des spéculations sur des informations que j’avais entendues et entendues, et également lues dans la presse auparavant». «Oui, ça n’a pas l’air bien là-bas, je parlais de choses qui étaient déjà dans le domaine public. Je ne faisais que commérer», ajoute-t-elle.
Par ce procès, la justice Britannique veut lever le voile sur la façon par laquelle, les infos et la vie privée des célébrités et des footballeurs en particulier, fuitent à travers les médias. Ces derniers, sont réputés pour consacrer de grosses sommes d’argent pour acheter des «espions» qui leur permettront d’arriver aux scoops.