Après avoir affiché sa solidarité à la Palestine, Youcef Atal a fait son mea-culpa sur son compte Instagram. Le latéral droit de la sélection national tente d’éteindre la polémique en France. Mais il sera convoqué par la commission de discipline en France pour audition.
Comme tout le monde le sait, Youcef Atal s’est retrouvé au cœur d’une grande polémique en France, à Nice en particulier, pour avoir affiché sa solidarité à la Palestine. Après une Sa publication de la vidéo du prédicateur Mahmoud Al-Hassanat, qui appelle Dieu à « envoyer un jour noir sur les juifs », n’a pas été du gout des Français.
En effet, le joueur a été accusé d’avoir fait « un appel à la haire, voire tuer les juifs ». Pis encore, le maire de Nice, Christian Estrosi, l’a menacé de l’expulser de la ville s’il ne présente pas ses excuses. Une affaire qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières heures. Pratiquement tous les médias français en parlent depuis la soirée d’hier.
Atal cède à la pression, mais…
Face à cette situation, le latéral droit de la sélection nationale a fini par céder à la pression. Conscient qu’il est au cœur d’une grande polémique à l’Hexagone, il a fait son mea-culpa sur son compte Instagram.
«J’ai conscience que ma publication a choqué plusieurs personnes, ce qui n’était pas mon intention, et je m’en excuse. Je tiens à clarifier mon point de vue sans aucune ambiguïté : je condamne fermement toutes formes de violence, où que ce soit dans le monde, et je soutiens toutes les victimes. Jamais je ne soutiendrai un message de haine. La paix est un idéal auquel je crois fermement ». A-t-il écrit.
Visiblement, cela ne suffirait par au joueur d’éteindre la polémique. En effet, et selon le quotidien spécialisé « L’Équipe », il sera convoqué par la commission de discipline en France pour audition, et ce, après avoir été saisie par le Conseil national de l’éthique.