Comme à pareille époque de chaque année, la région de Ghriss renoue avec ses traditions à travers des Waadas célébrées dans toutes les localités et chacune d’elle avait son timbre qui répond aux traditions de sa population.
Ce vendredi, c’est la localité d’Ain Fekan qui a célébré l’évènement qu’elle symbolise avec le Saint Mausolée de Sid Hadj Ali, elle s’est déroulée dans une ambiance particulière. Ain Fekan est une commune et chef-lieu de daïra qui porte son nom, la waada a regroupé plusieurs cavaliers venant des wilayas de Mascara, Saida, Sidi Bel Abbès, Relizane, Tiaret et les communes limitrophes comme Oued Taria, Ghriss, Tizi, Sfisef suivi de la population de ces localités, une tradition qui fait parler d’elle depuis plusieurs décennies et qui draine un afflux de gens participants et curieux venus des quatre coins de la région. Comme chaque année, en cette même période, cette manifestation d’envergure s’étale sur plusieurs jours de préparation et garde un cachet particulier illustré par une empreinte culturelle, festive et religieuse perpétuant cette coutume ancestrale synonyme d’un hommage à l’érudit et saint cheikh Sid El Hadj Ali.
Au programme, une ripaille au couscous traditionnel garni de viande ovine pendant que se faisaient entendre des séances de psalmodies de versets du Saint Coran avant de clôturer par une procession vers le mausolée de Sid El Hadj Ali où l’hommage est rendu au Saint de la localité. La plupart des participants étaient vêtus d’habits traditionnels, burnous, Djellaba, chéchia. Les uns récitaient des Medhs, les autres marquaient cet événement au rythme de sons folkloriques (Guellal et Ghaïta), la fantasia et les salves de baroud. Dont les enfants avec fierté nous diront que rien au monde ne peut les empêcher d’assister chaque année avec leurs parents à cette Waâda. Cette fête leur inspire le respect qui leur a été inculqué par leurs parents qui l’ont hérité de leurs grands-parents, en attendant de le revisiter l’année prochaine.époque de chaque année, la région de Ghriss renoue avec ses traditions à travers des Waadas célébrées dans toutes les localités et chacune d’elle avait son timbre qui répond aux traditions de sa population. Ce vendredi, c’est la localité d’Ain Fekan qui a célébré l’évènement qu’elle symbolise avec le Saint Mausolée de Sid Hadj Ali, elle s’est déroulée dans une ambiance particulière.
Ain Fekan est une commune et chef-lieu de daïra qui porte son nom, la waada a regroupé plusieurs cavaliers venant des wilayas de Mascara, Saida, Sidi Bel Abbès, Relizane, Tiaret et les communes limitrophes comme Oued Taria, Ghriss, Tizi, Sfisef suivi de la population de ces localités, une tradition qui fait parler d’elle depuis plusieurs décennies et qui draine un afflux de gens participants et curieux venus des quatre coins de la région. Comme chaque année, en cette même période, cette manifestation d’envergure s’étale sur plusieurs jours de préparation et garde un cachet particulier illustré par une empreinte culturelle, festive et religieuse perpétuant cette coutume ancestrale synonyme d’un hommage à l’érudit et saint cheikh Sid El Hadj Ali. Au programme, une ripaille au couscous traditionnel garni de viande ovine pendant que se faisaient entendre des séances de psalmodies de versets du Saint Coran avant de clôturer par une procession vers le mausolée de Sid El Hadj Ali où l’hommage est rendu au Saint de la localité. La plupart des participants étaient vêtus d’habits traditionnels, burnous, Djellaba, chéchia.
Les uns récitaient des Medhs, les autres marquaient cet événement au rythme de sons folkloriques (Guellal et Ghaïta), la fantasia et les salves de baroud. Dont les enfants avec fierté nous diront que rien au monde ne peut les empêcher d’assister chaque année avec leurs parents à cette Waâda. Cette fête leur inspire le respect qui leur a été inculqué par leurs parents qui l’ont hérité de leurs grands-parents, en attendant de le revisiter l’année prochaine.