Après que la direction du Ahly a déclaré par la voix de son coordinateur de section, El Hadi Khachaba, vouloir prêter Amir Sayoud au Mouloudia d’Alger, celui-ci veut régler son différend avec Al Ismaily avant d’entamer les négociations avec les pensionnaires de Chéraga. Le joueur et son agent ont réclamé les 300 000 dollars représentant la somme du contrat établi avec Al Ismaily. Une demande qui est restée lettre morte car les dirigeants d’Al Ismaily refuse catégoriquement d’octroyer cette somme au joueur qu’il accuse d’avoir failli à ses engagements.
Le joueur pourrait saisir a FIFA pour obtenir gain de cause
Dans le cas où cette situation resterait dans l’impasse avec chaque partie qui campe sur sa position, Sayoud n’hésiterait pas alors à saisir la FIFA pour obtenir réparation. Une option qui pourrait prendre beaucoup de temps au joueur qui préférerait de loin régler le problème à l’amiable. Mais ester son employeur devant la plus haute instance du football mondial pourrait constituer la planche de salut pour l’international algérien qui n’a surtout pas envie de se désister de son dû.
Ghrib attend d’entamer les négociations avec lui
Du côté de la direction du Mouloudia, on est plus que jamais optimiste concernant la venue prochaine de Sayoud, surtout après avoir obtenu l’aval des responsables du club cairote. D’ailleurs, le coordinateur de section, Omar Ghrib, attend d’entamer les négociations avec l’attaquant du Ahly qui doivent voir le jour dans les heures qui viennent, surtout si le conflit avec Al Ismaily venait à perdurer.
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La direction a pris attache avec Bourekba
Toujours à la recherche d’un attaquant pour redonner des couleurs à une ligne avant très critiquée pour son manque d’efficacité, on vient d’apprendre que la direction du Doyen a pris dernièrement attache avec Ramzi Bourekba. Le goléador du Chabab de Belouizdad dont le contrat expire au mois de juin 2012, aimerait changer d’air durant ce mercato, lui qui a perdu son statut de titulaire. Avec un temps de jeu qui est loin de répondre à ses attentes, Bourekba serait très séduit par l’idée de se relancer au Mouloudia qui a de très grands soucis devant. Et pour ne pas heurter la sensibilité des dirigeants et des supporters du Chabab, Omar Ghrib a désigné un émissaire afin qu’il se charge de convaincre Bourekba de s’établir au Mouloudia. Seul bémol, les rapports très tendus entre Ghrib et certains responsables du CRB pourraient faire capoter la transaction car du côté belouizdadi, il serait très mal vu de céder un de ses joueurs au Mouloudia surtout que le vieux club algérois devrait revenir en force durant la deuxième partie du championnat.
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Belaïd : «Face au refus de Ghrib de me libérer, j’ai décidé de rester»
Ayant terminé la phase aller avec le deuxième plus mauvais temps de jeu de son équipe (103’) juste devant Bouzidi, le jeune latéral droit Amine Belaïd avait émis son envie de partir, surtout qu’il est pisté par l’ASO. Une demande qui s’est heurtée au refus de Ghrib qui a décidé de le garder jusqu’à la fin de la saison.
Comment est votre état de santé ?
Dieu merci, j’essaye de récupérer durant ces quelques jours de repos qui m’ont été prescrits. J’ai profité de l’occasion pour me rendre chez moi à Bel Abbès afin de passer un peu de temps avec ma famille. Cela me permet de me ressourcer et de me remettre les idées en place.
Vous devez être déçu d’avoir déclaré forfait alors que vous étiez pressenti pour jouer face au MOB à la place de Babouche, non ?
C’est le destin, on ne peut rien y faire. C’est sûr que j’aurais aimé jouer ce match de coupe contre le MOB. Mais bon, c’est comme ça. Les blessures font partie des risques du métier.
On croit savoir que vous avez émis le vœu de partir durant ce mercato. Le confirmez vous ?
Effectivement, j’ai demandé à Omar Ghrib de me laisser partir, surtout que j’avais une touche très sérieuse avec l’ASO. Mais il m’a confirmé sa volonté de me garder.
Est-ce que vous vous sentez mal à l’aise au point de vouloir quitter un grand club comme le Mouloudia ?
Non pas du tout. Je suis bien au Mouloudia. Le seul problème, c’est que je veux jouer. J’ai envie de disposer d’un plus grand volume de jeu. Et le fait de rester souvent sur le banc de touche n’est pas du tout motivant même si je suis dans un très grand club. Une seule titularisation en championnat depuis ma venue, ce n’est pas à cela que j’aspirais.
Quelle va être votre position après le refus de votre direction de vous libérer ?
Eh bien, je vais respecter mes engagements en poursuivant ma mission avec mon club. Mon ambition sera d’essayer de grappiller le maximum de temps de jeu.
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Sayeh confronté à un problème de visa
A une semaine du départ de la délégation du
Mouloudia en Espagne pour effectuer son stage de préparation, le cas de l’attaquant Sayeh n’est toujours pas réglé. En effet, son passeport expire dans les jours à venir et c’est pour cette raison qu’il doit procéder à sa prolongation pour qu’il puisse obtenir le visa d’entrée sur le sol espagnol. Au niveau de l’ambassade, on a facilité la tâche au MCA puisque le dossier de Sayeh a été déposé et il suffit juste qu’on dépose son passeport pour que les services consulaires puissent lui établir le visa. Selon une source digne de foi, on croit savoir que l’attaquant du MCA attend toujours qu’on lui fasse une prolongation de la validité de son passeport au niveau de sa ville natale et s’il récupère son passeport lundi, la direction du club le déposera le lendemain. Bracci souhaite de son côté que Sayeh soit du voyage avec l’équipe lorsqu’on sait qu’il compte énormément sur lui. Dès lors qu’il est titulaire à part entière dans l’équipe, ça sera vraiment dommage pour lui et pour le club de rater le stage de préparation à Benidorm. D’autre part, nous avons appris que le deuxième groupe de joueurs vont obtiendra le visa ce lundi et il ne restera donc pour les dirigeants du MCA que le cas de Sayeh à régler.
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Chaouchi très sollicité
Bien que contesté par une frange de supporters de la JSMB, Fawzi
Chaouchi a dû répondre aux nombreuses sollicitations que ce soit de la
part des supporters du Mouloudia d’Alger ou bien ceux du MOB. Durant le
regroupement à l’hôtel Tabet, le natif de Bordj Menaïel a été submergé
par les sollicitations des Chnaoua et des Crabes qui ont voulu prendre
des photos souvenir avec le héros d’Oum Dourman. Une attitude qui
contraste avec l’hostilité de la veille affichée par les supporters de
la JSMB.
L’Unité- Maghrébine pris, dès le matin, d’assaut par les Crabes
A la veille du match tant attendu, on pouvait constater dans les rues de la ville une grande mobilisation des Crabes autour de leur équipe malgré la pluie et le froid glacial. Ainsi, hier matin, le stade de l’Unité- Maghrébine a été pris d’assaut dès 9 h par les supporters du MOB afin qu’ils puissent accrocher les nombreux drapeaux et banderoles dans les travées d’un stade qui était déjà en effervescence cinq heures avant le coup d’envoi.
La rencontre face à Alicante sera remplacée par une autre confrontation
Si le premier match que le MCA disputera à Benidorm face au Kaiserlautern est confirmé pour le 13 janvier prochain, il n’en demeure pas moins que la seconde rencontre prévue face à Alicante a été annulée comme nous l’a confirmé Rafik Hadj Ahmed. En effet, le fait que la date du stage ait été repoussée à plusieurs reprises n’a pas permis aux organisateurs de maintenir la programmation de cette seconde rencontre face à Alicante. L’équipe espagnole jouera un match important en championnat, ce qui explique la décision prise par sa direction, comme nous l’a confirmé Rafik Hadj Ahmed. Toutefois, le MCA disputera bel et bien un deuxième match au cours de son stage à Benidorm face à une équipe qui reste à déterminer
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L’affaire Pellicano illustre la décadence du Mouloudia
Désormais, les scandales font partie du quotidien du Doyen, qui ne garde de sa grandeur que le nom. L’affaire Pellicano continue à faire sensation au MCA, non par la valeur de l’investissement promise ou par la mise en œuvre du projet, mais tout simplement par les accusations échangées entre toutes les parties. Ces dernières se livrent à une guerre sans merci, en s’échangeant les accusations, illustrant l’état de décadence auquel est arrivé le Mouloudia. Hier matin et sur les ondes de la radio, Benomrane, le représentant de la société mixte algéro-italienne, Sid Ali Aouf, qui était derrière l’idée de l’investissement d’Edil Pellicano, ainsi que Omar Ghrib, le coordinateur de la section football du MCA, se sont échangé des accusations. Ce dernier estime que le dossier des Italiens est clos, notamment après l’affaire de Fouka qui a démasqué les intentions de la firme italienne. Le représentant de la société mixte, en l’occurrence Benomrane, crie à qui veut l’entendre que ladite société a bel et bien un siège social, mais sans pour autant apporter des explications pour quelle raison ce projet n’a jamais vu le jour. L’engagement se résume à de simples 10 millions d’euros, dans un rêve qui a tant caressé les Chanaoua. Quant à Sid Ali Aouf, il a essayé d’expliquer les raisons de sa démission qui était programmée depuis longtemps. Au moment où le club a besoin de solutions réelles, on s’amuse à s’échanger des accusations. Le club pourra s’offrir les meilleurs investisseurs, si le climat est sein. Ces personnes doivent prendre conscience qu’ils portent un costume plus grand que leur taille, car de simples supporters qui ont l’amour du club se sont rassemblés dans un cadre légal pour collecter de l’argent afin de racheter les créances du club et le sauver. Dans une action encadrée par des experts en la matière, et qui se montrent capables d’aider le club, juste pour son passé glorieux qui a fait sa fierté. Malheureusement, ceux que le changement dérange essayent tant bien que mal de mettre les bâtons dans les roues pour capoter le projet.
Benomrane : «Nous avons un registre du commerce et un siège social»
«Il n’y a aucune affaire Fouka, on veut tout simplement déformer la réalité. J’invite ceux qui doutent de notre entreprise à se présenter chez les instances compétentes pour voir si nous avons un registre du commerce ou pas. On veille au respect de la réglementation, et on œuvre conformément à la législation mise en vigueur. Pour ce qui est de notre siège social, il est situé à Draria et c’est une villa de trois étages. Pour celui de Fouka, il s’agit du deuxième siège de notre entreprise et rien ne nous interdit d’en avoir deux», dira Benomrane, le représentant de la société Edil
Pellicano Algérie.
Omar Ghrib : «Pour moi, le dossier de Pellicano est clos»
«Pour moi, le dossier Pellicano est clos, et ce qui s’est produit en cours de semaine a dévoilé la réalité de cette entreprise. Ces gens ont menti au peuple du Mouloudia et c’est vraiment grave d’en arriver là, car après tout ce temps, ils ont démontré qu’ils ne peuvent rien apporter au club.»
Aouf : «Je voulais démissionner depuis décembre dernier et je ne suis pas prêt à revenir sur ma décision»
«J’ai démissionné de mon poste, car il y a une action délibérée à nuire au projet. L’affaire de Fouka est la goutte qui a fait déborder le vase. A vrai dire, je voulais le faire depuis le mois de décembre dernier, car j’ai subi trop de pression et j’avais constaté qu’on voulait à tout prix capoter le projet. Maintenant, je ne suis pas prêt à revenir sur ma décision qui est irrévocable, car le climat est malsain.»
K. M.
