Dans un contexte tendu, le vote de Linda Thomas-Greenfield au Conseil de Sécurité de l’ONU suscite des interrogations. Le projet de résolution présenté semble éloigné de l’objectif de paix durable, soulevant des inquiétudes quant à son efficacité réelle.
Le vote d’hier est perçu comme imprudent et non responsable, remettant en question sa légitimité. Plutôt que de compromettre des négociations délicates, une alternative axée sur un texte favorisant un cessez-le-feu temporaire est envisageable.
Un cessez-le-feu temporaire est vital pour garantir l’acheminement de l’aide humanitaire aux civils palestiniens dans le besoin.
Il est impératif de condamner les attaques de Hamas, point de départ du conflit, pour permettre l’action coordonnée de l’ONU. Assurer l’efficacité et la durabilité de l’aide humanitaire est une priorité pour répondre aux besoins des civils.
Engagement en faveur de la construction d’un avenir où Israéliens et Palestiniens vivent ensemble en paix dans des États indépendants. Un engagement continu est nécessaire pour atteindre ces objectifs, à travers la diplomatie directe et les négociations sur le terrain.
L’Algérie déçue par l’échec du Conseil de sécurité de l’ONU
Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, Amar Bendjama, exprime son regret quant à l’inaction du Conseil de sécurité face aux appels des peuples. Il insiste sur l’importance de la responsabilité du Conseil de sécurité et appelle à un cessez-le-feu.
Après le veto des États-Unis à la résolution proposée par l’Algérie, Bendjama remercie les membres pour leur participation et exprime sa gratitude envers ceux qui ont voté en faveur du projet. Malgré cet échec, il souligne l’importance de poursuivre les efforts pour la paix à Gaza.
Un message de soutien crucial pour les Palestiniens
Le projet de résolution rejeté par le Conseil de sécurité transmettait un message essentiel de soutien aux Palestiniens. Bendjama souligne l’échec du Conseil à répondre aux aspirations des peuples et insiste sur la nécessité d’assumer ses responsabilités.