L’ex-députée et présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Naima Salhi s’est faite condamner à 6 mois de prison ferme par le Tribunal de Chéraga.
En effet, cette dernière a écopé de 6 mois de prison ferme, ce mercredi 15 novembre 2022, ou elle a été poursuivie dans le cadre de deux affaires, dont une concerne des propos diffamatoires et dénonciation calomnieuse à l’encontre de Mourad Amiri, un cadre en informatique au ministère de l’Intérieur.
C’était mercredi dernier, et après plusieurs reports, que s’était ouvert le procès dans lequel Mourad Amiri accuse Naima Salhi de propos diffamatoires et dénonciation calomnieuse contre lui, au tribunal de Chéraga à Alger, dans lequel elle est poursuivie pour le chef d’inculpation d’« incitation à la haine ».
Il est à noter, que ce même tribunal avait requis une peine de 2 ans de prison ferme et 100.000 dinars d’amende contre l’ex-députée.
Naima Salhi au cœur d’une nouvelle polémique
Naima Salhi, l’ex-députée et présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), dérape à nouveau lors du procès qui s’était ouvert, le mercredi 2 novembre 2022, au tribunal de Chéraga à Alger, dans lequel elle est poursuivie pour le chef d’inculpation d’« incitation à la haine », suite à une plainte de Mourad Amiri, ancien fonctionnaire au ministère de l’intérieur.
Faisant suite à la plaidoirie des avocats de la partie civile réclamant la requalification des faits, qui considèrent, que les actes pour lesquels Naima Salhi est poursuivie relèvent plutôt de la criminelle et non pas d’un délit, cette dernière n’a pas hésité à qualifier les avocats de la partie civile de « Zouaves ». En contre partie, ces mêmes avocats de la partie civile, ont tout de suite déposé plainte, contre l’ancienne députée de la wilaya de Boumerdès.