Le championnat national Deux a pris fin avec la consécration du MCS à l’issue d’une saison marquée par la rétrogradation du MOB et de l’OMA.
Cependant, l’instabilité desstaffs techniques est devenue une mauvaise habitude chez nos dirigeants à la recherche du résultat à tout prix. Deux clubs ont échappé à ce phénomène. Il s’agit du PAC et de l’ABM qui ont prôné la stabilité.
MCS: Une fin en apothéose
Le MCS a confirmé son statut de super favori de cette épreuve, terminant ainsi la saison en apothéose avec une accession en Nationale Une, avec quatre points d’avance sur son dauphin asémiste. Auteur d’un sans-faute à domicile, le Mouloudia s’est montré trop fragile en dehors de ses bases comme en témoignent ses résultats (une victoire, dix nuls et six défaites sur dix-sept matches) et ce, en dépit de la présence d’un effectif de qualité et d’expérience. Au finish, et après le déclin de l’ESM qui a totalement calé en cours de route, le MCS a réussi son pari et retrouve l’élite une année après l’avoir quittée.
ASMO, ESM: de solides concurrents
L’accession est venue hanter l’esprit des Asémistes à deux journées de la fin du parcours. Ce n’est ni logique ni rationnel, car les exigences d’un tel objectif nécessitent une régularité et des moyens, d’autant plus que plusieurs joueurs ont montré leurs limites. La preuve, les Oranais ont raté une belle occasion de réaliser l’exploit après leur défaite concédée à Saïda face au MCS pourtant prenable samedi dernier.
Néanmoins, certains estiment que l’ASMO a largement atteint son objectif avec cette honorable place de dauphin. Par ailleurs, la satisfaction réside dans l’éclosion des jeunes. Pour sa part, l’ESM, champion d’automne, ne devra s’en prendre qu’à elle-même. Après les difficultés rencontrées en début de saison et le cauchemar vécu après l’incident de Oued Fodda, les Mostaganémois se sont bien repris en dictant leur loi, mais la phase retour leur a été fatale en perdant la bagatelle de quinze points à domicile. Le départ du coach Assas, qui a su donner une âme à cette équipe, s’est avéré comme une grande perte. Il y a lieu également de noter que les joueurs ont été perturbés par la crise financière qui a secoué le club.
ABM-CRT-USMMH: Des promus aux fortunes diverses
C’est incontestablement l’ABM qui a réussi le meilleur parcours parmi les trois promus en terminant à la quatrième place, devançant bien des équipes plus huppées. Le onze de Merouana a connu les pires difficultés à suivre le rythCependant, l’instabilité desstaffs techniques est devenue une mauvaise habitude chez nos dirigeants à la recherche du résultat à tout prix. Deux clubs ont échappé à ce phénomène. Il s’agit du PAC et de l’ABM qui ont prôné la stabilité.
MCS: Une fin en apothéose
Le MCS a confirmé son statut de super favori de cette épreuve, terminant ainsi la saison en apothéose avec une accession en Nationale Une, avec quatre points d’avance sur son dauphin asémiste. Auteur d’un sans-faute à domicile, le Mouloudia s’est montré trop fragile en dehors de ses bases comme en témoignent ses résultats (une victoire, dix nuls et six défaites sur dix-sept matches) et ce, en dépit de la présence d’un effectif de qualité et d’expérience. Au finish, et après le déclin de l’ESM qui a totalement calé en cours de route, le MCS a réussi son pari et retrouve l’élite une année après l’avoir quittée.
ASMO, ESM: de solides concurrents
L’accession est venue hanter l’esprit des Asémistes à deux journées de la fin du parcours. Ce n’est ni logique ni rationnel, car les exigences d’un tel objectif nécessitent une régularité et des moyens, d’autant plus que plusieurs joueurs ont montré leurs limites. La preuve, les Oranais ont raté une belle occasion de réaliser l’exploit après leur défaite concédée à Saïda face au MCS pourtant prenable samedi dernier. Néanmoins, certains estiment que l’ASMO a largement atteint son objectif avec cette honorable place de dauphin.
Par ailleurs, la satisfaction réside dans l’éclosion des jeunes. Pour sa part, l’ESM, champion d’automne, ne devra s’en prendre qu’à elle-même. Après les difficultés rencontrées en début de saison et le cauchemar vécu après l’incident de Oued Fodda, les Mostaganémois se sont bien repris en dictant leur loi, mais la phase retour leur a été fatale en perdant la bagatelle de quinze points à domicile. Le départ du coach Assas, qui a su donner une âme à cette équipe, s’est avéré comme une grande perte. Il y a lieu également de noter que les joueurs ont été perturbés par la crise financière qui a secoué le club.
ABM-CRT-USMMH:Des promus aux fortunes diverses
C’est incontestablement l’ABM qui a réussi le meilleur parcours parmi les trois promus en terminant à la quatrième place, devançant bien des équipes plus huppées. Le onze de Merouana a connu les pires difficultés à suivre le ryt