Il semblerait que depuis le début de la contestation c‘est-à-dire le 22 février, de plus en plus sous-revendications émergent complétant ainsi la revendication principale qui est : le départ total du système.
En ce jour du 28 mars la contestation continue. Dans plusieurs wilayas, plusieurs secteurs sont sortis exprimant encore une fois leurs demandes à un gouvernement qui semble les ignorer, et s’il arrive que l’attention soit dirigée vers eux, des tentatives vaines pour étouffer leur colère pacifique leur sont destinées.
Le revirement de situation constant a donc poussé les manifestants à prendre encore une fois leurs pancartes retouchées cette fois-ci au semblant de la situation et les nouvelles sous-revendications y compris « non à l’application de l’article 102 », et se diriger vers les rues principales de leurs villes.
À Béjaïa, les employés de Naftal, d’Algérie Télécom, Emballage Jute, les employés de l’ETUSA. Et en vacances, les enfants ont rejoint leurs tuteurs en ce jour de marche.
À Bouira ce sont les employés du secteur des travaux publics, les syndicats des auto-écoles et l’ONA qui manifestent aujourd’hui.
Et la capitale au semblant des autres villes témoigne de la présences de plusieurs secteurs dont : les architectes, les notaires, les soldats maintenus et les familles des victimes du terrorisme.
#Alger 28/3/19 Architectes, Notaires, soldats maintenus, familles victimes du terrorisme rassemblés pour dénoncer le Système pic.twitter.com/DLL0jg5jTT
— Khaled Drareni (@khaleddrareni) 28 mars 2019
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M.A.Y