L’Arabie saoudite et la Russie, qui s’entendent depuis 2017 avec d’autres gros producteurs de pétrole pour limiter l’offre, ont jugé possible vendredi une hausse de la production à partir du troisième trimestre alors que les prix sont remontés récemment à leurs plus hauts niveaux depuis 2014.
Cité par les agences russes lors d’un forum économique à Saint-Pétersbourg, le ministre saoudien de l’Energie Khaled al-Faleh a jugé que les pays producteurs auront « bientôt la possibilité de libérer l’offre ».