Plus de 2000 participants dont 1000 hommes d’affaires africains seront au rendez-vous de l’investissement africain à Alger les « ,’ et 5 décembre 2016, apprend-on des organisateurs de l’événement.
Des invitations ont été envoyées à plus de 1600 acteurs, principalement économiques, du continent pour prendre part à ce forum d’Alger. Près de 500 participants algériens seront également présents. Outre les acteurs économiques, des ministres et des représentants d’organismes africains et internationaux ont déjà répondu présents.
Les organisateurs affichent, d’ores et déjà, leur satisfaction quant au nombre des acteurs qui ont déjà confirmé leur présence et qui dépasse largement les attentes initiales.
S’inscrivant sous le slogan, « Travailler Ensemble Pour Réussir Ensemble », ce rendez-vous d’Alger se veut, selon ses initiateurs, une opportunité pour tous les entrepreneurs, hommes d’affaires et opérateurs africains qui souhaiteraient être une partie prenante de la revitalisation de l’économie africaine et en définitive de la renaissance de notre continent.
« Le but de ce forum n’est pas de créer des relations économiques bilatérales Algérie-Afrique, mais de donner l’occasion à l’émergence d’un réseau de coopération à travers le continent », avait expliqué le ministre d’Etat ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra le 11 novembre dernier.
Le rendez-vous d’Alger, organisé par un comité d’organisation inter-sectoriel placé sous l’autorité de M. Lamamra, a “des buts économiques purs”, avait affirmé ce dernier.
L’écho de ce forum, unique en son genre selon lui, pourrait dépasser le plan continental pour devenir, à moyen terme, « un rendez-vous économique mondial ».
Le chef du FCE, coorganisateur du forum africain d’investissements et d’affaires, espère voir se concrétiser une “vision économique africaine” qui se repose sur 5 domaines: L’agriculture, l’énergie, le numérique, le capital humain et les infrastructures.
L’Algérie, pour lui, disposera d’un “grand hub” qui facilitera les échanges inter-africains en annonçant la création de deux zones franches: l’une à Cherchell au nouveau port du centre, et l’autre à Tamanrasset connectées par la route transsaharienne.