Meziane Ighil et Abdelkrim Medouar ne peuvent pas prétendre à la présidence de la FAF. Après avoir vu leur candidature rejetée, les concernés ont vu, cette fois-ci, leurs recours rejetés par la commission de recours.
La commission électorale de la fédération algérienne de football continue à préparer l’assemblée générale élective, prévu le jeudi 21 septembre. Après avoir reçu les différentes candidatures, seul le dossier de Walid Sadi a été retenu.
Face à cette situation, Meziane Ighil et Abdelkrim Medouar ont déposé un recours au début de la semaine en cours. Mais leurs dossiers ont été encore une fois rejetés.
« La Commission de recours pour les élections de la Fédération algérienne de football informe officiellement que les deux candidats au poste de président de la FAF, en l’occurrence M.M. Ali Meziane Ighil et Abdelkrim Medouar ne sont pas éligibles aux fonctions pour lesquelles ils ont déposé leurs candidatures suivies d’un dossier de recours. Les décisions de la commission de recours seront notifiées aux concernés ». Lit-on sur le site officiel de la FAF.
Pourquoi les dossiers de Medouar et Ighil ont été rejetés ?
Dans un communiqué officiel, la commission électorale a expliqué pour quelles raisons elle n’a pas retenu les dossiers de Meziane Ighil et Abdelkrim Medouar.
Concernant Ighil, son mandatement n’est pas réglementaire. Aussi, il a écopé d’une sanction disciplinaire levée, conformément à l’article 24 du Code disciplinaire de 2023 de la FIFA.
Quant à Medouar, il n’a pas le diplôme universitaire requis. Tout comme Ighil, il a écopé lui également d’une sanction disciplinaire levée.
Ainsi, l’assemblée générale élective de la FAF se tiendra le 21 septembre avec un candidat unique, en l’occurrence Walid Sadi. La voie est libre pour l’ex-bras droit de Mohamed Raouraoua à la FAF pour succéder à Djahid Zefizef à la tête de la première instance du football algérien.