Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé mercredi une réunion du gouvernement cruciale. L’objectif est d’examiner le rapport préliminaire sur le projet du Code de la route. Cette initiative vise à établir des règles claires pour la circulation routière, renforçant ainsi la sécurité sur nos routes.
En effet, ce projet de loi ambitionne de définir les normes de circulation routière. Il constitue également un pilier essentiel dans l’élaboration de la stratégie nationale de sécurité routière et de prévention des accidents.
Numérisation : accélération et modernisation
En outre, la numérisation des actes d’urbanisme représente une avancée majeure dans la modernisation administrative du pays, et ce en simplifiant les procédures et en accélérant le traitement des demandes, elle contribuera à améliorer l’efficacité de l’administration publique. En effet, grâce à la numérisation, les citoyens auront accès à des services en ligne plus rapides et plus efficaces. Ils pourront déposer leurs demandes d’actes d’urbanisme et suivre leur traitement en temps réel, ce qui simplifiera considérablement les démarches administratives.
De plus, le renforcement du droit syndical est une priorité pour le gouvernement, et ce en garantissant aux travailleurs le droit de s’organiser et de négocier collectivement, cette loi contribuera à améliorer les conditions de travail et à protéger les droits des employés.
En reconnaissant le droit syndical, le gouvernement envoie un message fort sur son engagement envers la protection des droits des travailleurs. Cela permettra aux employés de faire entendre leur voix et de défendre leurs intérêts de manière collective.
Adaptation de l’enseignement supérieur aux besoins de l’économie
Par ailleurs, il a aussi été question de l’adaptation de l’enseignement supérieur aux besoins de l’économie est un enjeu crucial pour le développement du pays, et ce en formant des diplômés mieux adaptés aux exigences du marché du travail, le système éducatif contribuera à stimuler la croissance économique et à réduire le chômage.
Mais également en révisant la formation des détenteurs de doctorats, le gouvernement cherche à mieux aligner l’enseignement supérieur sur les besoins du marché du travail. Cela permettra aux diplômés de trouver plus facilement un emploi et de contribuer au développement économique du pays.