Tout a commencé pour Djamel Nekkaz, le frère « présumé » de Rachid, lorsqu’il a brigué un siège de député en France dans la 2e circonscription (Créteil-Choisy-Orly) en 2002. Depuis, tout comme « son frère » en 2007, l’Elysée devient pour lui une obsession.
Président de l’association « Vive La France », Djamel, citoyen français d’origine algérienne, se dit « candidat à la présidentielle française de 2017 », peut-on lire sur son profil Facebook.
Très critique envers les politiques français, notamment les Le Pen et Sarkozy, le Choiséen issu de l’immigration suit l’actualité algérienne de très prêt et se permet même de critiquer la politique du pays. « L’Algérie n’est pas encore prête pour avoir un leader politique au modèle étranger. Ce n’est pas dans la tradition des Algériens. Cette volonté de creuser dans cette voie, ne peut qu’animer une fourberie dans l’opposition », peut-on lire dans l’une de ses publications récentes sur Facebook. Dans ce même post, Djamel Nekkaz endosse le rôle de sage-conseiller pour montrer la voie que devraient entamer les Algériens: « La meilleure politique à suivre, est de continuer de sensibiliser toutes les Algériennes et Algériens, à s’informer de l’avenir qui se trame dans le pays, au risque de subir une pléthorique d’avalanche inattendue ».
A lire ses publications, on se demande si Djamel n’est pas en train de donner des conseils à son frère cadet (Rachid), en parlant notamment de « leader politique au modèle étranger ».
On ne sait pas encore si Djamel et Rachid sont frères, mais on sait au moins que les ambitions présidentielles sont « innées » dans la famille Nekkaz.la une