La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme, Mounia Meslem, a déclaré, lors de sa rencontre avec les chefs d’entreprise au Centre culturel islamique de Boumerdès, qu’elle était prête à jeter l’éponge si elle n’arriverait plus à maîtriser son secteur.
Par ailleurs, elle a rejeté sur un certain nombre de ministres du gouvernement Sellal la responsabilité de la situation désastreuse que vivent les refugiés subsahariens.
Et partant, lors de sa visite de travail qui l’a conduite à Boumerdès, elle a déclaré que le sort de ces réfugiés ne concerne pas uniquement son ministère mais qu’il existe d’autres ministères et organismes qui devraient également les prendre en charge.