La chargée de l’information de l’Office national de météorologie (ONM), Houaria Benrekta a indiqué à l’APS que la hausse des températures enregistrée actuellement dans le nord du pays « est certes exceptionnelle mais c’est un phénomène que l’Algérie a déjà connu ».
Et en ce qui concerne le risque de sécheresse, la spécialiste en prévision météorologiques a estimé que « c’est encore très tôt pour parler de sécheresse, en ce sens que l’année agricole s’étale du 1 septembre au 31 août et que l’hiver dure jusqu’au mois de mars ».
Benrekta précise qu’« une forte pluviométrie a été enregistrée les mois d’octobre et novembre 2019, un phénomène qui pourrait se reproduire avant la fin d’hiver, et de par son emplacement géographique dans le bassin de la Méditerranée, l’Algérie avait enregistré une forte pluviométrie et des chutes de neige les mois de mars et avril en 2003 et 2005 ».