Inaugurant, hier Mardi 22 octobre, son premier centre de réparation et de maintenance de turbines et de compresseurs au Maghreb, le groupe Siemens se lance dans un vaste investissement en Algérie.
Avec un investissement de 500 millions de dinars lancé dans la commune de Hammadi dans la wilaya de Boumerdès, Siemens réitère son engagement dans la localisation en termes de savoir-faire et d’infrastructures industrielles, ainsi que dans l’émergence de nouvelles expertises dans le domaine de l’énergie en Algérie.
Le nouveau centre de Siemens permettra d’optimiser la performance et la longévité des équipements rotatifs de ses clients à moindre coût, en effectuant l’entretien des centaines de turbines et de compresseurs essentiels au fonctionnement de l’industrie pétrolière et gazière en particulier. Ce qui représentera une économie de temps et de ressources considérables pour toutes les parties prenantes du secteur de l’énergie.
Les installations du centre sont extensibles et ont été conçues pour s’adapter à la croissance des besoins de ses partenaires algériens. Elles peuvent prendre en charge les turbines, compresseurs et autres équipements des marques Siemens et Dresser-Rand ainsi que de plusieurs autres fabricants.
Le support de Siemens s’articule également sur la formation, au niveau du centre, des équipes techniques de ses clients ainsi que de ses sous-traitants algériens, leur conférant une autonomie et une réactivité précieuses, surtout dans le cadre de leur activité stratégique qui ne connait pas d’intermittence.
En marge de l’inauguration, le DG de Siemens Algérie/Tunisie, Farouk Benabdoun, a déclaré « Nous sommes particulièrement fiers d’avoir investi dans ce centre de maintenance et de réparation, qui est le premier au Maghreb pour Siemens »
« Grâce à ce centre les partenaires du groupe pourront dorénavant procéder à l’entretien de leurs Turbines et de leurs Compresseurs en Algérie. C’est pour cela que cette structure, de par sa proximité, permettra une optimisation du temps et des ressources de nos clients ainsi que l’émergence de nouvelles compétences algériennes dans le secteur de l’énergie », a expliqué M. Benabdoun.