Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a eu un entretien avec le secrétaire général des Nations unies (ONU), Antonio Guterres.
En effet, une rencontre a eu lieu entre Abdelmadjid Tebboune et le SG de l’ONU, Antonio Guterres, selon un communiqué rendu public par la présidence de la république, ce mercredi 2 novembre.
La rencontre s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger Ramtane Lamamra et l’ambassadeur Nadir Arbaoui, représentant de l’Algérie auprès des Nations unies.
Mardi, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, est arrivé en Algérie pour participer en tant qu’invité d’honneur au sommet arabe, il a été reçu par le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra.
Comme l’a confirmé précédemment le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, sa participation au Sommet arabe. Il a salué la contribution exceptionnelle de l’Algérie à la diplomatie multilatérale mondiale. Il a déclaré que notre monde faisait face à de nombreuses crises et qu’il fallait coopérer pour aller de l’avant, en considérant qu’il est déraisonnable que des pays innocents paient le prix du changement climatique causé par d’autres pays.
Dans un discours qu’il a prononcé à l’occasion du 31e sommet arabe en Algérie, António Guterres a souligné la nécessité de travailler ensemble sur les valeurs de paix, de développement durable et de droits de l’homme.
Guterres affirme le soutien de l’ONU aux pays arabes
A l’occasion de sa présence en tant qu’invité d’honneur au Sommet arabe, le SG de l’ONU a appelé à apporter un soutien généreux aux Nations Unies afin de soutenir la Palestine, le Yémen, la Syrie, la Libye et le Liban. En rajoutant les pays en développement ont besoin de plus de soutien, et que ces derniers peuvent compter sur les Nations Unies pour améliorer les relations afin d’améliorer les conditions de vie des peuples arabes.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Guterres, a ajouté que les gouvernements de près de la moitié du monde, y compris les gouvernements des pays arabes et africains, ne reçoivent pas suffisamment de financement. C’est pourquoi il estime que tout doit être mis en œuvre pour le succès de l’Initiative céréalière de la mer Noire afin d’assurer l’accès aux pays arabes et africains.