Afin de mettre par écrit son sentiment vis-à-vis des évènements qui se produisent depuis près d’un mois en Algérie, Soolking s’est assis au coin du feu, muni de sa plume et de son encrier, pour rédiger une lettre à la gloire de la liberté.
À la manière de Paul Eluard presque 80 ans auparavant, l’artiste d’origine Algérienne célèbre la prise d’indépendance des algériens qui s’insurgent contre leurs dirigeants politiques. À travers ce titre, Soolking dénonce notamment les vices du système et les « faux discours » des représentants de l’État.