L’attaquant international algérien, Islam Slimani, a accordé une interview au journal breton « le Télégramme ». Il parle de se débuts avec sa nouvelle équipe, le Stade Brestois, et se dit optimiste pour la suite du parcours.
Après avoir quitté le Sporting Portugal, Islam Slimani est revenu en France pour rebondir. C’est au Stade Brestois qu’il a opté. Il a signé son contrat quelques jours seulement avant la clôture du mercato estival.
Environ un mois depuis son arrivée en Bretagne, l’attaquant de la sélection nationale s’exprimer pour la première fois. En effet, il a accordé une interview au journal breton » Le Télégramme ». Il parle de ses débuts avec sa nouvelle équipe.
« Certes, je vis un nouveau mode de vie en Bretagne, mais je dois m’adapter. Je me sens de mieux en mieux et j’espère maintenant que les résultats suivront. Même les conditions climatiques en Bretagne ne m’ont pas posé un problème… Le temps d’adaptation m’a servi à ça : découvrir mes coéquipiers, connaître leurs points forts, leur manière de jouer, de penser. Tout ça est important pour moi. ». Dira-t-il d’emblée.
« Déçu de mes performances, mais je travaille pour faire mieux »
Malgré la confiance renouvelée par son entraineur Michel Der Zakarian, Islam Slimai peine toujours à débloquer son compteur buts. Il affirme qu’il travaille d’arrache pied afin de retrouver son efficacité et surtout être au niveau des attentes.
« Mon rôle est de marquer et de faire marquer pour que l’équipe obtienne des résultats. Alors, oui, je suis déçu de mes performances pour l’instant, mais je travaille pour faire mieux…Si j’ai été recruté par le Stade Brestois, c’est pour aider et apporter quelque chose. Je suis qu’on attend beaucoup de moi. En Algérie ou ici à Brest, tout le monde veut qu’on gagne ». A-t-il indiqué.
Le meilleur buteur de l’histoire de la sélection nationale revient sur son pénalty raté face au Paris Saint-Germain. « C’est le genre de déception qu’il faut très vite digérer. Je suis assez mûr pour surmonter ça ».
Enfin, le joueur se dit optimiste de voir son équipe. « Pour l’instant, les résultats ne suivent pas, mais il nous manque simplement une victoire pour provoquer le déclic tant attendu ».