Les inspecteurs de l’ONU poursuivent tant bien que mal leur travail sur le terrain en Syrie.
Dans la banlieue de Damas lundi, un de leurs véhicules a été touché par des tirs, mais ils ont recueilli des preuves d’une attaque chimique présumée, si l’on en croit l’opposition syrienne. Cela paraît de toute manière peu déterminant, puisque les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont déjà arrêté leur décision. Le gouvernement britannique annonce clairement qu’il prépare des plans pour une possible action militaire.