Le Président Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce jeudi 9 septembre 2021, à un mouvement dans le corps des présidents près les cours de justice comprenant des nominations et des limogeages.
Selon un communiqué de la présidence de la république, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a opéré un mouvement partiel dans le corps des présidents des cours de justice.
En effet, ce mouvement a concerné :
• Kamel Hadj Mihoub Sidi Moussa, nouveau président de la cour de justice de Laghouat ;
• El Aid Boukhebza, nouveau président de la cour de justice de Biskra ;
• Dahou Kada, nouveau président de la cour de justice de Bechar ;
• Abdellah Khelfaoui, nouveau président de la cour de justice de Tamanrasset ;
• Fethi Ahmed-Kbir, nouveau président de la cour de justice de Annaba ;
• Lahssen Saadi, nouveau président de la cour de justice de Médea ;
• Abdelhafid Tibhiriti, nouveau président de la cour de justice de Mostaganem ;
• Menour Antar, nouveau président de la cour de justice de Mascara ;
• Abdelkader Mensour, nouveau président de la cour de justice d’Oran ;
• El Aid Belmaaziz, nouveau président de la cour de justice d’El Bayadh ;
• Houari Ben-allal, nouveau président de la cour de justice de Tissemssilt ;
• Mabrouk Mokadem, nouveau président de la cour de justice de Souk Ahras ;
• Azzedine El-orfi, nouveau président de la cour de justice de Mila ;
• Bensekran Filali, nouveau président de la cour de justice de Naama ;
• Hamid Chettah nouveau président de la cour de justice d’Ain Timouchent.
Taher Mamouni, nouveau premier président de la Cour suprême
Lundi dernier, un nouveau magistrat a été installé à la tête de la Cour suprême. En effet, il s’agit de Taher Mamouni. La cérémonie de son installation avait été présidée par le Ministre de la Justice, Abderrachid Tebbi en présence du président du Conseil constitutionnel, Kamal Fenniche, de la présidente du Conseil d’Etat, Farida Benyahia.
S’exprimant lors de la cérémonie, le ministre de la Justice a affirmé que cette désignation s’inscrivait dans le cadre de la nouvelle dynamique enclenchée par le président Tebboune, laquelle vise à doter les établissements importants de compétences nécessaires afin d’opérer la rupture avec les anciennes pratiques de gestion.