Ce dimanche 16 octobre 2022, le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, Président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), s’est rendu au siège de la Cour suprême à Alger pour présider l’ouverture de la nouvelle année judiciaire 2022-2023.
Aujourd’hui marque l’ouverture, au siège de la Cour suprême à Alger, de la nouvelle année judiciaire 2022-2023. D’ailleurs, c’est le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui présidera la cérémonie officielle en sa qualité de Président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
La cérémonie d’ouverture de la nouvelle année judiciaire se déroule en présence de hauts responsables de l’État et de membres du Gouvernement. À l’instar du Général d’Armée, Chef d’État-Major de l’Armée Nationale Populaire (ANP), Saïd Chanegriha, du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, du Président du Conseil de la Nation, Salah Goudjil, ou encore du Président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Ibrahim Boughali.
Ouverture de la nouvelle année judiciaire : ce qu’a dit Tebboune
Intervenant en marge de la cérémonie d’ouverture de la nouvelle année judiciaire qu’il a présidé au siège de la Cour suprême à Alger ce dimanche, le Président Tebboune est revenu sur les réalisations du secteur de la Justice tout en rappelant les défis à relever et les objectifs souhaités.
En effet, le Chef de l’État a fait part de « l’avancement remarquable constaté au niveau de la mise en œuvre des programmes prévus, notamment en matière d’adaptation des textes juridiques avec les principes constitutionnels ».
En outre, le Président Tebboune a aussi indiqué qu’ « au cours de cette nouvelle année judiciaire, le rythme de travail sera accéléré », et ce, de manière à répondre aux nouvelles données de la réalité économique et sociale.
Alors qu’il présidait la cérémonie d’ouverture de la nouvelle année judiciaire, le Président Tebboune a aussi noté le fait que « le bon fonctionnement de la Justice et l’assurance du citoyen ne proviennent pas uniquement de la qualité des lois, mais de leur application transparente dans le respect des droits des individus ». À cet effet, il a aussi mis l’accent sur « la nécessité de la mise en place de mécanismes efficaces pour résoudre les conflits entre les individus ».