Un communiqué de la Présidence de la République indique que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu hier, le dimanche 10 septembre 2023, le président de l’Observatoire national de la société civile (ONSC), Noureddine Benbraham, et des membres de son bureau.
L’audience, qui s’est déroulée au siège de la Présidence de la République, s’inscrit dans le cadre du « suivi et de l’évaluation des activités de cette instance et l’écoute des propositions et des avis ayant trait aux missions confiées à l’ONSC », précise le communiqué.
D’après cette même source, ont pris part à cette audience, « le directeur de cabinet à la Présidence de la République, Mohamed Ennadir Larbaoui, et le Conseiller du président de la République chargé des Affaires juridiques et judiciaires, Boualem Boualem. »
Benbraham affirme le soutien de Tebboune à l’ONSC
Suite à cette audience, Noureddine Benbraham a affirmé « le soutien direct » du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à l’organe qu’il préside, un soutien appelé à se renforcer « à l’avenir, à travers des décisions à même d’impulser le rôle et la disponibilité de l’ONSC ».
Dans une déclaration à l’issue de l’audience que lui a accordée le Président de la République, en compagnie des membres de son bureau, Benbraham a fait savoir que lors de cette audience, l’accent à été mis sur « la nécessité de permettre à la société civile de jouer son rôle, en tant que force de citoyenneté et partenaire fondamental dans la bonne gouvernance ».
La rencontre a également porté sur les « mécanismes d’autonomisation juridique et le soutien au rôle de la société civile en tant que partenaire dans la gouvernance locale », a soutenu Benbraham, qualifiant l’orientation du président de la République à l’égard de la société civile « de feuille de route renforçant son rôle, que ce soit sur le plan juridique ou dans le traitement quotidien avec les administrations locales et centrales ».
Pour conclure, elle s’est également axée sur « le contexte régional et international et ses répercussions sur l’Algérie et la région tout entière », en mettant l’accent, en premier lieu, sur « les préoccupations les plus importantes des citoyens et de la société civile ».