Les joueuses de tennis algériennes Inès Ibbou et Amira Benaïssa, sans compétition depuis plusieurs semaines ont tellement régressé dans le classement mondial féminin qu’elles ont fini par en sortir ce lundi, suivant la dernière publication de la World Tennis Association (WTA). A cause de ce manque de compétition, Ibbou (20 ans) et Benaïssa (29 ans) n’ont pas récolté, en effet, les points nécessaires pour se maintenir dans cette hiérarchie mondiale, qu’elles ont donc fini par quitter en cette fin du mois de janvier. Rien que pendant la semaine du 18 décembre 2018, Ibbou avait perdu 124 places, et depuis, elle n’a fait que poursuivre sa descente dans les abysses de la hiérarchie mondiale, tout comme sa compatriote Benaïssa, ayant donc fini par connaître le même sort qu’elle. Le manque de compétition a été fatal à l’Oranaise de 29 ans même dans le classement mondial du «double», puisqu’elle l’a quitté en cette fin du mois, tout comme cela a été le cas en «simple». Une hiérarchie dans laquelle Benaïssa était la seule algérienne à figurer, car Ibbou ne figurait que dans le classement du simple. Dans le haut de ce classement mondial féminin, la Japonaise Naomi Osaka s’est emparée de la première place, suite à sa victoire dans l’Open d’Australie. Elle devance ainsi la Tchèque Petra Kvitova (2e), qu’elle avait dominé en finale de cet Open d’Australie, disputée samedi à Melbourne. De son côté, l’ancienne N1 mondiale, la Roumaine Simona Halep a régressé au 3e rang, elle qui fut éliminée dès les 8es de finale à Melbourne
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