Le 20 juillet 2020, la wilaya de Tiaret a fait face à un crime des plus dévastateurs : l’assaisonnât de Mohamed Adjrad, le « médecin des pauvres ».
Tous se rappellent des éléments sordides de l’affaire, et attendaient de voir le dénouement de cette affaire. Pour rappel, 5 personnes avaient été arrêtées.
Ce n’est que ce mardi, soit deux ans après que le tribunal criminel relevant de la cour de justice de Tiaret a condamné deux accusés pour « association de malfaiteurs avec entente établie de commettre le crime, vol qualifié dans des conditions particulières à la faveur de la nuit, meurtre avec préméditation et guet-apens ». Ils ont donc écopé d’une peine de réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de Mohamed Adjrad.
Ce n’est pas tout, deux autres personnes sont elles aussi tenues coupables et ont écopé de 10 ans de prison chacun. En ce qui concerne le dernier suspect, il a été acquitté et donc libéré.
Tiaret : l’assassinat du « médecin des pauvres »
Comme énoncé précédemment, il y a deux ans la wilaya de Tiaret avec eux un véritable drame. Mohamed Derardja communément connu sous le nom de « médecin des pauvres » a été brutalement assassiné.
C’est dans son propre cabinet médical , que le Docteur Mohammed Adjrad âgé de 80 ans a été découvert, mort.
Les autorités s’étaient déplacées un individu s’est présenté au commissariat pour signaler la découverte du corps de Mohammed dans le cabinet.
Les éléments de l’assassinat sont horrifiants. L’homme a été trouvé pieds et mains liés avec des fils électriques, avec un ruban adhésif autour du cou. Les meurtriers ont inséré dans sa bouche plusieurs feuille pour l’empêcher de crier.
Les autorités ont vite commencé à enquêter et ont réussi à appréhender cinq personnes. Ils avaient été mis en détention en attention ledit procès.