Le parti de l’ancien président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, « Forza Italia » a réclamé d’utiliser la force ,si nécessité il y a, pour freiner l’afflux des migrants algériens sur l’île de la Sardaigne, accusant ces derniers d’avoir transformé les villes italiennes en hubs de criminalité.
Le coordinateur régional du parti de Silvio Berlusconi (Forza Italia), Ugo Cappellacci s’est en pris aux 2.000 migrants algériens qui ont rejoint l’été dernier l’île de la Sardaigne. Ses propos étaient relayés par la presse locale de ladite île.
« Les derniers événements reflètent que le grand afflux de migrants algériens constituent une menace pour l’ordre et la sécurité publique dans l’île», a-t-il estimé, en faisant allusion à la sérié d’arrestation de migrants algériens dans différentes villes de la Sardaigne.
Abondant dans le même sens, le conseiller municipal de la ville de Cagliari estime lui que la présence des migrants clandestins algériens dans l’île représente un réel danger et une réelle menace pour la population.
« Les migrants algériens continuent alors dérober, voler et harceler…etc.», a renchéri le politique appartenant au centre-droit italien.
Il estime que de toutes les personnes hébergés dans les centres d’accueil de la ville, peut-être pas une seule présente des caractéristiques de « réfugié».
« La majorité écrasante des migrants qui ont afflué vers l’île sont venus de l’Algérie…ils n’ont jamais fui la guerre», soutient-il.