Les États-Unis d’Amériques accueillera, le mois janvier prochain, le plus important congrès international portant sur l’intelligence artificielle. Cet événement qui sera organisé au niveau de Hawaï, réunira les géants de ce domaine, dont Grainger, Google, Amazon, Intel et Nvidia.
Le congrès international de l’intelligence artificielle des USA sera également marqué par la présence de nombreuses personnalités et chercheurs de renommée. Dont plusieurs Algériens, comme Djamila Aouada et Abdenour Hadid. Par ailleurs, pour la première fois, un tel événement sera présidé par un Algérien. Il est question du meilleur CEO dans le domaine de l’intelligence artificielle, l’Algérien Fouad Boustouane.
Un Algérien préside le congrès international de l’intelligence artificielle aux USA
Dans une déclaration accordée à Maghreb Voices. Fouad Boustouane a fait savoir que l’organisation de ce congrès vient s’ajuster aux évolutions de ce domaine. Mais aussi de faciliter l’accès aux données développées en matière d’intelligence artificielle, pour les centres de recherches en dehors d’Amérique. Par ailleurs, il fait part de la volonté d’organiser un tel congrès en Algérie. Et ce, pour être parmi les rares pays à accueillir ce genre d’événement.
Pour rappel, Fouad Boustouane a été élu parmi pus de 500 candidats le meilleur CEO, dans le domaine de l’intelligence artificielle, aux USA. Cet Algérien est passé d’un simple étudiant à l’université d’Annaba, à un chercheur comptant une dizaine de brevets d’invention.
Par ailleurs, grâce à un travail dur, Fouad a réussi à décrocher une bourse qui lui a permis de poursuivre ses études dans un centre européen de recherches spatiales. La carrière de ce chercheur aux origines algériennes aux USA avait commencé grâce à la participation à un colloque sur l’intelligence artificielle à Barcelone.
Un événement dans lequel il a fait connaissance d’un professeur qu’il a invité à poursuivre ses recherches aux USA. Effectivement, Fouad Boustouane a rejoint un centre de recherches aux USA. Où il a été promu, au bout de trois ans, au poste de directeur exécutif.