USTO-Mohamed Boudiaf: Ouverture de 63 postes de doctorat

USTO-Mohamed Boudiaf: Ouverture de 63 postes de doctorat

L’ouverture de treize formations doctorales avec 63 nouveaux postes au niveau de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran a été habilitée par la commission d’évaluation de la Conférence régionale des universités de l’ouest (CRUO) au titre de l’année 2018-2019, a indiqué à l’APS le chargé de communication de l’établissement.

«Un concours national sera organisé en octobre 2018 pour les 63 postes qui touchent les différentes filières enseignées au niveau de l’université (physique, chimie, informatique, etc.)», a déclaré Boudia Maamar en marge des portes ouvertes sur l’université qui se tiennent depuis mardi au profit des nouveaux bacheliers.

L’USTO offre 4.000 places pédagogiques pour les nouveaux bacheliers 2018 dans six domaines de formation couvrant 26 filières, dont trois à recrutement national (génie maritime, métallurgie et hydraulique), avec 37 spécialités en licence et 69 spécialités en mastère, a-t-il précisé. S’agissant des nouvelles spécialités, ce même responsable a fait savoir que deux nouveaux mastères professionnels dédiés à la corrosion et la pétrochimie seront ouverts à la prochaine rentrée universitaire.

Ces deux parcours seront dispensés en partenariat avec l’Institut algérien de pétrole (IAP) et le groupe Sonatrach. «Les parcours de ces mastères professionnels doivent être préparés avec les partenaires économiques de façon à répondre à un besoin réel et à assurer une formation pratique», a encore noté le même responsable.

Concernant le nouvel institut spécialisé en ingénierie mécanique, dont l’ouverture a été annoncée pour la prochaine rentrée 2018/2019, Mâamar Boudia a ajouté qu’il ne sera finalement ouvert qu’à la rentrée 2019/2020. En effet, le futur Institut des sciences technologiques appliquées (ISTA) assurera deux cursus. Le premier concerne la gestion des chaînes de production et le second dédié à la maintenance automobile. Le retard de l’ouverture est dû à la lenteur des négociations avec les constructeurs automobiles qui se chargeront de la partie pratique de la formation, a-t-on encore expliqué.