M. Z.
Le président Zaim Abdelbasat a justifié cette décision, qualifiée de surprenante par de nombreux observateurs, «par l’insuffisance des résultats enregistrés à l’extérieur». Une raison qui ne semble guère convaincante dans la mesure où Kamel Mouassa a été l’artisan de l’accession et reste sur une brillante qualification aux quarts de finale de la Coupe d’Algérie aux dépens du CABBA.
Ainsi donc, Kamel Mouassa devient le dix-huitième entraineur, des deux Ligues confondues, à quitter son poste, sans compter les sept techniciens étrangers qui ont, eux aussi, abandonné leurs équipes pour diverses raisons, à l’image des Marocains Taoussi (ESS), Badou Zaki (MCO), le Français Alain Michel (MOB), l’Espagnol Jose Maria Nogues (CABBA), le Franco-Serbe Daniel Darko Janackovic (ASAM) et le Tunisien Moaz Bouakaz (USMBA). Cette valse d’entraineurs commence à devenir inquiétante pour l’avenir des clubs, et ce en dépit de la directive de la FAF relative à l’octroi de deux licences d’entraineurs par club par saison.