La variole du singe s’est étendue à travers le monde, et quelques cas ont déjà été bel et bien confirmés. Même si la prolifération n’est pas très alarmante, l’OMS déclare déjà 200 cas à travers le monde.
L’Organisation mondiale de la santé ( OMS ) a signalé que 200 cas de variole du singe ont été signalés dans le monde jusqu’à présent, et cela devrait augmenter dans les prochains jours.
Selon le média internaute, l’Angleterre a été le premier pays à faire état de l’urgence de la situation. Pour rappel, le premier malade de la variole du singe y a été enregistré le 7 mai 2022, et serait une personne qui revenait d’un voyage au Nigéria.
D’autres pays ont eux aussi signalé plusieurs cas de variole du singe, comme l’Espagne, le Portugal, le Canada, les États-Unis, l’Italie et la Suède.
L’OMS, toujours dans la confusion ?
L’organisation mondiale a tenu à souligner dans un communiqué que cette situation était très inhabituelle, et qu’ils ne savent pas qu’elle en est la cause exacte.
Les informations liées à la transmission du virus ne sont pas encore avérées, ce qui laisse la porte ouverte aux contaminations même si la sonnette d’alarme a été tirée précocement afin de limiter les dégâts.
Même si le taux de mortalité dû à cette maladie est assez bas, l’OMS a conseillé d’utiliser le test « BCR » pour détecter l’infection et être pris en charge le plus rapidement possible. En effet, en ce qui concerne la dangerosité de cette maladie, elle affirme « que le taux de létalité s’est établi entre 1% et 10%, la plupart des décès survenant chez les plus jeunes ».
Une commission de suivi en Algérie
Voulant prendre ses précautions, l’Algérie a mis en place une commission de suivi afin d’avoir un continuel état des lieux sur l’évolution de la variole du singe à travers le monde.
La commission est constituée de quatre membres, et présidée par le responsable de l’Agence nationale de sécurité Sanitaire, Kamal Sanhadjiv.