Lors du 39ème vendredi du Hirak, les journalistes, qui se sont mobilisés pour couvrir les manifestations, ont dénoncé les pressions dont ils sont victimes, et ont réclamé de pouvoir faire leur travail de façon libre.
Pour rappel, plusieurs journalistes ont été interpellés lors de leur couverture des manifestations du Hirak, certains sont actuellement en prison ou sous contrôle judiciaire en attente de leur procès pour d’autres motifs, de nombreux médias privés ou publics, notamment audiovisuels, ne couvrent plus les protestations depuis de nombreuses semaines, et des émissions du service public ont été annulées ou déprogrammées pour avoir parlé du Hirak.
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— Abdelmalek (@abdmalekma) November 15, 2019