Originaire de Skikda et bloqué au Kosovo, un Algérien qui dit être en « danger de mort », lance un cri de détresse afin de pouvoir se réfugier dans son propre pays. Le jeune algérien est victime d’agression à l’arme blanche au Kossovo, et il est encore entrain de se cacher de ses agresseurs.
Le jeune Algérien s’appelle Mohamed Soussi, il a rejoint clandestinement le vieux continent en passant d’abord par la Turquie, la Grèce, puis l’Albanie, avant de finir son périple européen bloqué au Kosovo, ou il avait été agressé violemment à l’arme blanche.
Bloqué, blessé et traqué au Kosovo
C’est avec une difficulté apparente que le jeune algérien bloqué au Kosovo explique le calvaire qu’il vit dans ce pays. Il dit qu’il est incapable de bouger, qu’il a été victime d’une agression, et qu’il vit maintenant de l’aide de quelques âmes charitables.
La situation de ce jeune Algérien, qui est entré clandestinement en Europe, est vraiment critique. On voit clairement sur la vidéo le degré de sauvagerie avec laquelle il a été agressé, mais également la détresse dans laquelle il vit, et on devine aisément son unique souhait, qui est de rentrer dans son pays.
Mohamed soussi continue d’exposer sa situation, et explique qu’il vit grâce à l’aide d’un groupe d’Algériens qui lui ont ramené du jus de fruit, et qui l’ont caché dans une salle de prière, afin qu’il ne soit pas retrouvé par ses agresseurs qui courent toujours après lui apparemment.
Un SOS lancé aux autorités
Apeuré et fatigué, le jeune Mohamed Soussi, qui en partant de Skikda avait fini bloqué au Kosovo, lance désespérément un appel de détresse aux autorités Algériennes pour qu’il puisse enfin regagner son pays et « se reposer ».
Le jeune Algérien déclare : « je demande aux autorités Algériennes d’intervenir, et de me ramener au pays. C’est tout ce que je demande. Tout ».
Un message plus précis a été lancé au ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, par le jeune Algérien bloqué au Kosovo. Ce dernier déclare : « Je demande au ministre de l’extérieur, Boukadoum, de me ramener chez moi, pour l’amour de dieu, car j’en peux plus ! »